Le popaul à Paul
Datte: 28/09/2018,
Catégories:
fh,
hagé,
médical,
handicap,
bizarre,
neuneu,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
nopéné,
fdanus,
jouet,
confession,
attirautr,
... irrités me fait du bien, c’est comme un massage. J’entends un bruit ; je me tourne et vois la vache à la porte ; je me retourne, et en vitesse j’enlève les ventouses et remonte la fermeture de mon bleu. Quand je regarde à nouveau la vache, elle est dans l’étable avec Paul à ses côtés. Il me montre comment placer les ventouses sur les pis et me sort : « Toi, avoir seins comme voisine. » Je regarde mes seins : mes tétons sont enflés. Je dis à Paul de finir sa traite et je pars me rhabiller car je dois le ramener. Dans la maison, j’enlève mon bleu et constate que mes tétons ont triplé de volume. Je commence à les caresser, mais ils sont extrêmement sensibles et douloureux. Tout en me promenant en petite culotte, je cherche la salle de bain. Une fois rendue dans celle de l’étage, je me passe de l’eau sur les seins ; ils diminuent de volume mais restent toujours sensibles et douloureux. Lors de la visite, j’ai remarqué une trousse à pharmacie dans la chambre de la mère de Paul. Je l’ouvre ; il y a pas mal de produits périmés. Au fond se trouve une longue boîte. Je l’ouvre, et suis stupéfié d’y trouver un godemiché en bois d’un certain volume. Je referme la boîte et vais dans la chambre de Paul pour me rhabiller, mais impossible de remettre la main sur mon soutien-gorge. Tant pis ; de toute façon, il m’aurait gênée à cause de mes seins sensibles. Je retourne chercher Paul à l’étable. En y entrant, je le vois nu en train de se masturber avec une ventouse au bout de sa queue. En me ...
... voyant, il dit qu’il n’arrive pas à l’enlever. Je cours à sa rescousse et tire sur la ventouse pour la dégager, mais elle est bloquée. Je me mets à genoux, crache sur la bite de Paul pour la lubrifier et commence à le branler pour faire pénétrer ma salive dans la ventouse. Ma tête n’est qu’à cinq centimètres : je pourrais la lécher pour me faciliter la tâche, mais je refuse de céder à la tentation. Pour résister, je me mords les lèvres. Je demande à Paul de se coucher sur dos, puis je l’enjambe, me mets à genoux au-dessus de lui et commence à tirer de toute mes forces. Même s’il a une jolie vue sur mon dos, ça n’aide toujours pas à le libérer de la ventouse. C’est alors qu’il pose ses mains sur mes cuisses et se met à les caresser. Il étale ma salive sur mes cuisses. Ses mains quittent mes cuisses pour rejoindre mes fesses qu’il malaxe délicatement. Ses doigts se glissent sous ma culotte tandis qu’il m’encourage avec des mots doux comme s’il parlait à ses bêtes. Je m’assois sur son torse pour qu’il n’aille pas plus loin avec ses doigts, mais dès que je me relève, il revient à la charge. On joue deux ou trois fois à ce petit jeu, mais il trouve une solution : il force le passage à travers le tissu et titille l’entrée de mon anus. J’avance mon bassin ; ça me laisse quelques secondes de répit, mais il revient. Je continue d’avancer jusqu’à ce que mon entrejambe entre en contact avec sa bite. J’essaie toujours de retirer la ventouse mais je suis prise d’assaut par les doigts de ...