Le popaul à Paul
Datte: 28/09/2018,
Catégories:
fh,
hagé,
médical,
handicap,
bizarre,
neuneu,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
nopéné,
fdanus,
jouet,
confession,
attirautr,
... fois par semaine, les patients de notre secteur vont voir un spécialiste. Et ce spécialiste a dit à monsieur Claude que Paul parle souvent de la ferme de sa mère. Alors monsieur Claude me demande d’emmener Paul à la ferme. Il me dit d’aller prendre les clés chez la voisine car c’est elle qui l’entretient. Le mardi suivant, j’amène Paul revoir sa ferme. Quand je lui annonce la nouvelle, il devient plus aimable avec tout le service. Je passe chez la voisine pour récupérer les clés ; elle me recommande de bien en profiter. Je ne fais guère attention à ce qu’elle me dit. Prenant cette sortie avec Paul comme une sorte de journée de repos, je me suis mise en tenue légère à cause de la météo clémente : une petite robe jaune qui fait ressortir mes seins, accompagnée d’une paire de baskets. Paul me fait visiter sa maison. Il commence par la cuisine, puis suivent le salon, la salle de bain et les sanitaires avant de monter à l’étage pour me montrer sa chambre, et on finit par celle de sa mère. Il me fait voir ce que portait sa mère : des chemises, des vieilles robes, des blouses et des bleus de travail. Il me demande d’en mettre un pour la suite de la visite. J’hésite, mais je vois dans son regard que ça lui ferait plaisir. Il me donne un bleu de travail, et pendant que je me change, il part me chercher une paire de bottes. Le problème avec le bleu de travail, c’est que je ne peux pas garder ma robe en dessous au risque de l’abîmer avec les fermetures. Et comme mon soutien-gorge est en ...
... dentelle, je décide de l’enlever également ; je me retrouve en culotte sous mon bleu. Il revient avec une paire de bottes ; il a également enfilé son bleu. On part faire le tour du propriétaire. Pendant la balade, je sens le bout de mes seins irrités par le frottement du tissu du bleu ; de plus, je remarque que le bleu a une odeur bizarre. Il me montre le champ des vaches, le poulailler, la porcherie, et on finit par l’étable. Il nous fait entrer dans l’étable et me montre les machines pour traire les vaches. Il me dit en me pointant du doigt : « Si tu veux, je te montre avec cela. » Je vois qu’il regarde mes seins. Je jette un coup d’œil à ma poitrine : je m’aperçois que mes seins pointent, et qu’avec les rayons du soleil qui passent par les fenêtres, mon bleu laisse deviner facilement mes formes. Il me regarde avec un grand sourire et déclare : « Je rigole comme avec voisine. » Je ne comprends pas sur le coup ; je me dis que c’est sans doute une blague. Du coup, il branche la machine à traire et part chercher une vache. Je prends une ventouse et passe ma main au-dessus de l’ouverture ; je sens qu’elle est aspirée. Lorsque que Paul m’a raconté sa blague, une image m’a traversé la tête : et si je plaçais une ventouse sur un de mes seins ? Je regarde si Paul arrive : personne en vue. J’ouvre mon bleu, je sors mon sein gauche et place la ventouse sur mon aréole. Vu le plaisir que ça me procure, je place une deuxième ventouse sur mon autre sein. Cette d’aspiration de mes tétons ...