Le contrôle fiscal
Datte: 02/08/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
inconnu,
ascenseur,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
... celui-ci s’était envolé comme s’envolait le rire joyeux de la jeune femme visiblement excitée à l’idée qu’elle ait pu lui dévoiler volontairement son intimité la plus précieuse. — Allongez-vous sur le divan, je vais aller chercher de quoi traiter vos écorchures. Il l’avait abandonnée quelques minutes à peine, pensive et souriante, avant de la retrouver allongée sur le ventre sur son large divan, le visage dissimulé entre ses bras repliés et le peignoir descendu sur sa croupe. Elle était vraiment magnifique et il avait dû se faire violence pour ne pas lancer tout de suite son ultime assaut. Mais il était patient et l’idée de caresser ce corps offert à ses mains expertes n’était pas pour lui déplaire. Il avait d’abord désinfecté les éraflures qu’elle arborait au niveau des omoplates et du haut du dos, puis il avait descendu le peignoir pour dévoiler ses fesses qui présentaient elles aussi de petites écorchures sanglantes qu’il s’était appliqué à apaiser. Un délicieux frisson avait parcouru les chairs de Brigitte lorsque Bertier avait découvert les rondeurs brillantes de son cul dénudé et qu’il avait délicatement étendu du bout des doigts sa crème cicatrisante. Puis, lorsqu’il s’était mis à lui masser les épaules et le dos, les mains couvertes d’huiles essentielles, elle n’avait pu retenir un soupir profond et sensuel qui révélait son évident plaisir. Il l’avait massée durant de longues minutes, écartant entièrement le peignoir pour s’occuper de ses cuisses, de ses mollets ...
... et, bien sûr, de ses fesses. Les soupirs s’étaient transformés en gémissements et le corps de Brigitte Dubois vibrait comme un instrument de musique sous les doigts habiles de Bertier. Il était temps de penser à l’assaut final mais il n’était pas un chasseur ordinaire. Il voulait que sa proie vienne elle-même quémander sa petite mort. Alors, il s’était arrêté, pour la regarder et attendre qu’elle vienne à lui. Il avait attendu debout à côté du divan pendant une longue minute, avant qu’elle ne tourne son visage dans sa direction, un sourire extatique dessiné sur les lèvres et une flamme de désir dansant au fond de ses yeux. Elle avait avancé la main pour la poser sur l’entrejambe de Bertier et saisir le membre dressé qui déformait le pantalon de flanelle. — Vous permettez ? Il faut bien que je fasse mon boulot de contrôleuse, non. Elle avait sorti sa queue, visiblement ravie par la taille de l’engin et s’était mise à la sucer d’une bouche gourmande. Voilà, la chasse était finie. Il n’y avait plus de chasseur ni de proie, mais seulement un couple qui s’apprêtait à s’offrir l’un à l’autre. Elle lui avait pompé la queue jusqu’à le forcer à se retirer avant l’issue fatale, puis il avait entrepris de lui dévorer la chatte avec autant d’ardeur qu’elle avait mise à déguster son gland. Elle avait une belle chatte aux grosses lèvres joufflues qui laissaient dépasser les dentelles de chair de ses petites lèvres. Un con de jouisseuse de toute évidence, qui réagissait au quart de tour ...