La détresse de l'aide soignante (4)
Datte: 03/10/2018,
Catégories:
Trash,
... son cul, pour qu’elle sorte de la cabine. Puis j’ai ouvert la chambre et l’ai laissée rentrer en premier. La chambre était grande mais basique. Un lit king size, une salle d’eau, des toilettes, une télé dont nous n’aurions pas besoin à priori. La décoration était kitsch, mais je n’étais pas venu ici pour leur style. Comme au restaurant, j’ai pris le manteau de Julie pour l’accrocher dans la penderie. Mais contrairement au restaurant, elle ne savait pas trop quoi faire, elle tenait ses mains pour se donner une contenance. Je la comprenais. Moi-même je redoublais d’effort pour avoir l’air à l’aise. — Viens voir par là, lui ai-je dis en l’attirant au centre de la pièce. Je suis passé derrière elle et ai défait la fermeture éclair de sa robe, qui est tombée au sol. Bien moins pudique que la veille, Julie a gardé ses bras le long du corps. J’ai fais le tour de son corps, laissant traîner mes doigts ça et là, comme pour évaluer la marchandise. Je me suis attardé un moment sur sa poitrine, qui ne demandait qu’à être libérée du soutien-gorge, mais j’ai décidé qu’il ne fallait pas être trop pressé. Je me suis alors éloigné un instant, le temps d’aller chercher mon sac à dos que j’avais laissé dans l’entrée. — Tu te demandes ce qu’il y a dedans, n’est-ce pas ? lui ai-je demandé en fouillant dedans. — Un peu, oui. — Ne t’en fais pas. Tu auras tout le temps de le découvrir. Dans un premier temps, j’ai sorti une petite sangle. Après le départ de Julie en fin d’après-midi, j’avais ...
... fouillé dans les vieilles affaires de bricolage de Raymond. C’était une vraie mine d’or, j’y avais trouvé tout l’attirail nécessaire pour une soirée de domination. — Mets tes mains dans le dos, lui ai-je dit. Ce n’est pas que je n’ai pas confiance, mais je préfère te savoir attachée. Julie n’a pas répondu, elle s’est contenté de sourire. Mais dans ce sourire, je pouvais aisément lire toute son approbation. Être attachée ? Avec plaisir. Une fois ses mains attachées dans le dos, j’étais libre de jouer. Encore une fois j’ai tourné autour d’elle, laissant glisser le bout de mes doigts sur son ventre, ses fesses, son dos, ses seins, que j’ai fait glisser hors de son soutien-gorge. Ses tétons pointaient fièrement, et j’ai dû me retenir pour ne pas les maltraiter sur le champ. Un petit pincement et une petite gifle sur chaque suffisait pour l’instant. Délicatement, avec ma main sur sa hanche, j’ai invité Julie à s’assoir sur le lit, tandis que je restais debout face à elle. Je me suis déshabillé, lentement. La chemise, bouton par bouton, et le pantalon, centimètre par centimètre. Mon boxer a suivi et je me suis retrouvé entièrement nu devant elle, en état d’érection intense. Je me suis approché d’elle, jusqu’à ce que mon sexe soit à quelques centimètres de son visage, et instinctivement Julie a ouvert la bouche. Mais c’est une gifle qu’elle a reçue. Un peu surprise, elle m’a regardé droit dans les yeux en se demandant ce qu’elle avait fait. — Tu as accepté d’être ma chienne tant que je ...