La détresse de l'aide soignante (4)
Datte: 03/10/2018,
Catégories:
Trash,
... travers son bâillon, et sa chatte s’est mise à déborder. Elle coulait en continu. J’ai dû lâcher son clitoris devenu ultrasensible, et sentait ma jouissance arriver également, je me suis retiré d’entre ses fesses. Après avoir pris plaisir à regarder son anus dilaté le temps d’une seconde, j’ai saisi mon sexe, me suis relevé, et à quelques centimètres de son visage, me suis vidé de mon plaisir. Une grande giclée de sperme barrait son visage, s’ajoutant aux restes de bave. Elle en avait de partout, dans les yeux, les cheveux, la joue. Elle m’avait tellement excité, et je m’étais tellement retenu. — Oh putain ! ai-je dis, tenant mon sexe d’une main au-dessus de son visage, et me tenant au fauteuil de l’autre main. Voilà ce que j’appelle de la baise ! Puis j’ai attrapé le scotch sur la bouche de Julie, qui reprenait lentement ses esprits, et l’ai retiré d’un coup sec. J’ai retiré le string d’entre ses lèvres, et m’en suis servi pour nettoyer un peu son visage. — Oh mon Dieu, Marc ! a-t-elle finit par dire. C’était tellement bon ! J’en veux encore ! — On a toute la nuit, ne t’en fais ...
... pas. — J’aime être ta chose. Je veux que tu continues de faire de moi ta chienne, ça m’excite tellement ! J’ai caressé sa joue salie avec tendresse, et je l’ai regardée en souriant. Oui, j’allais continuer, autant que je le pourrais. Je ne l’ai pas détachée tout de suite, cependant. Je me suis d’abord levé, et suis allé dans la salle de bain, où j’ai fait couler de l’eau dans la baignoire. Et alors seulement je suis retourné vers Julie, et j’ai défait les sangles qui l’attachaient au fauteuil. Je l’ai aidée à se relever et on est allés tous les deux prendre ce bain dont on avait bien besoin. Dans cette baignoire, il n’y a que tendresse, caresses, et douceur. J’ai certes caressé ses seins, mais c’était pour calmer la douleur causée par les pinces. Quand, après le bain, j’ai passé mes doigts entre ses fesses, c’était pour lui passer de la crème apaisante. La pauvre chérie avait bien morflé. Après ça, nous nous sommes mis au lit. Julie s’est endormie, entièrement nue, au-dessus de la couette. Je me suis mis à côté d’elle en regardant son corps, et ai fini par m’endormir à mon tour.