1. Hôtel des Voyageurs


    Datte: 05/10/2018, Catégories: fh, hotel, amour, Oral pénétratio, ecriv_g,

    ... toujours la fin de ses récits. Le premier épisode, il l’a terminé flasque guimauve, dégoulinant de sentimentalisme béat, nunuche, gnan-gnan, "mon cricri d’amour", rien que pour savonner la planche pour le successeur. Il était tellement improbable qu’on se dise des mots d’amour si vite, au lieu de grogner, de soupirer, de ahaner et peut-être de gémir ou de crier comme tout couple baisant qui se respecte ! Résultat, il n’y a pas eu de successeur. Bien fait. Alors nous, les personnages, nous prenons notre indépendance ! Il n’a plus rien à y voir, Nemo1. Évelyne, je te tends les bras en te souriant. Frédéric, je me jette dans tes bras. Mes lèvres déjà entrouvertes attendent les tiennes, qui se rapprochent lentement, trop lentement. Nos langues enfin se rencontrent, se palpent et se plaisent. Tellement ! Évelyne, ma langue explore le palais d’une belle qui ne dormira pas jusqu’au bout de la nuit. Au petit matin, quand le petit déjeuner nous sera livré, tu auras les yeux cernés. Nous serons repus d’amour. Rien de nos corps ne nous sera plus jamais étranger. … Évelyne est sortie de la salle de bains, empaquetée dans une grande serviette, qu’elle a naturellement enlevée avant de se glisser sous le drap. De la buée recouvre le miroir. Lavés, ses bas, son petit slip bleu ciel et son soutien-gorge -dont je ne vois guère l’utilité- sèchent sur le radiateur. Elle avait soigneusement plié sa robe sur le dossier d’une chaise. Sans m’être déshabillé, j’attendais qu’elle revienne. Maintenant, ...
    ... sous la douche, je pense à ses seins, à ses cuisses, au buisson sombre que je viens d’entrevoir, et dans lequel je me suis glissé, dans la voiture. Elle a joui très vite, en balbutiant de surprenants mots d’amour. Une sentimentale. Elle me plait décidément beaucoup. Beaucoup. Je suis dans les bras de Frédéric. Son torse est encore un peu humide. Je veux qu’il reste allongé sur le dos, sans bouger. Il le comprend, car j’ai posé fermement ma main sur son épaule, la faisant ainsi doucement basculer. Et voici que ma joue remplace ma main, qui frôle désormais ses petits tétons, aussitôt rigides. Je ne veux rien d’autre, pour le moment, qu’être bercée par la si légère houle de sa poitrine qui se soulève au rythme de son souffle. Qu’il ne bouge pas, surtout ! Elle a les yeux fermés. Je la laisserai dormir, si elle préfère. Dormeuse, mon amour, dans quelque temps je te caresserai si doucement, si tendrement, que tu t’ouvriras comme une fleur sans en être tout à fait consciente. Je ne vais pas dormir. Je suis sûre qu’il aime que je referme les doigts sur la pointe de son tout petit sein d’homme. Il en ronronne presque. Ma seconde main, c’est sur sa cuisse que je la pose. Son sexe se trouve sous mon poignet, j’en éprouve la dureté. Je déplacerai ma main tout à l’heure. Mais qu’il ne bouge encore pas ! Le battement de son sang dans l’artère de son poignet. Et le mien, à l’unisson, dans mon sexe bandé. J’écrase un peu son bras droit. Il le déplace, et sa main se fait ferme et lourde sur ...
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