Hôtel des Voyageurs
Datte: 05/10/2018,
Catégories:
fh,
hotel,
amour,
Oral
pénétratio,
ecriv_g,
... ma fesse. Je me tourne un peu plus, et passe ma jambe en travers de ses cuisses. Ses cheveux noirs me chatouillent le cou. Oh ! Avec un sourire carnassier, il a soulevé brusquement sa jambe et m’a chavirée sur le dos, ses lèvres aussitôt sur les miennes. Puis il s’est levé, la verge souveraine, a jeté à terre drap et couverture, et s’est laissé tomber, d’abord sur ses coudes et ses genoux, ensuite si doucement sur moi. Captive dans ses bras, je ne bouge plus. Son torse pèse sur mes seins. J’avais bien vu, à table, qu’entre sa noire pupille et le gris bleu de son iris brille une mince couronne dorée. Que pense-t-il du vert de mes yeux ? Sait-il que le désir le rend plus sombre, comme un étang de Sologne quand disparaît le soleil ? Sa bouche est fraîche comme la mienne. Tout à l’heure, j’ai utilisé son dentifrice, une noisette sur mon index, car je n’ai pas osé me servir de sa brosse à dents. Sa langue est impérative, elle me fouille. Je n’ai rien à déclarer, si ce n’est que je vous aime, monsieur. Faites de moi ce qu’il vous plaira. Ses seins attirent ma bouche. Chaque pointe, tour à tour, danse sous ma langue, puis est aspirée par mes lèvres. Elle me caresse doucement la nuque. Qu’il descende, qu’il descende ! Je suis offerte, je l’attends. Qu’il délaisse mon nombril, nous n’en sommes plus là ! Elle a appuyé des deux mains sur mon crâne pour me contraindre à m’intéresser enfin à sa source de vie. Sa petite toison noire et mouillée ne dissimulait qu’à peine deux lèvres de ...
... corail que ma langue écarte, avant de remonter faire vibrer la perle rose qu’inondera très vite la rosée. Je veux qu’il pivote. Entre mes lèvres je veux son membre impérieux. Lui donner du plaisir. Qu’il constate que je ne suis pas… Non ! Sa bouche s’est jetée soudain sur la mienne et son sexe s’est enfoncé, coup de pioche dans une terre meuble. Que c’est bon de me refermer sur lui, le captif ! Qu’il ne bouge pas encore, surtout ! Cette légère palpitation au fond de moi suffit à me combler. Je le possède. Mais je suis conquise. Je lui murmure, mais si bas qu’il ne l’entend peut-être pas : je suis à toi, Frédéric, et je t’aime, je t’aime tant ! Pointe du glaive dans son fourreau de chair, seul mon gland bouge, et encore à peine, mais il te conduit à des contractions qui me sont délicieuses. J’ai entendu. Je t’aime, Évelyne. Il ne bouge qu’à peine. Et soudain se déchaîne ! Puis s’immobilise. Il va me rendre folle. Il attend que je jouisse, en même temps que lui. Mais il ne comprend donc pas que je vais jouir, et tout de suite ! Mes ongles s’enfoncent dans la chair de son dos. Mais voici qu’il enserre mes tempes de ses deux mains, qu’il plonge son regard dans le mien, et que sa bouche abandonne la mienne pour, si tendrement ! se poser sur mes paupières. Et revenir sur mes lèvres. Nous allons jouir ensemble. Je me soulève lentement. Et je replonge. J’ai délaissé ses tempes pour glisser mes mains sous ses fesses, si fermes. Elle a maintenant ses jambes croisées sur mes cuisses, comme ...