1. Le roi René (1)


    Datte: 07/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... position et il débute une pénétration qui me met en transes. D’abord, il laisse juste le bout de sa bite limer l’entrée de ma chatte et puis soudain, d’une seule poussée, il s’enfonce jusqu’à la garde en moi et je me retrouve pliée en deux, sous l’effet d’un coup de fouet qui m’arrache le ventre. Les ondulations de mon ventre entraînent mon visage à la rencontre de la queue de Michel et je suis déboussolée par toutes ces allées et venues en moi. Mon cœur s’emballe, ma respiration elle, suit le même processus, je me sens transportée dans un autre monde, emportée dans de grands espaces qui me sont étrangers, avec des couleurs chatoyantes, des arcs-en-ciel mirifiques. Je perçois comme dans un brouillard, le bruit que fait le vit qui s’enfonce dans ma chatte trempée, clapotis qui me donnent encore plus envie qu’ils soient plus virils. J’ai l’impression que Michel se raidit de plus en plus, que son sexe va laisser monter sa sève dans ma bouche ; alors je ne veux pas qu’il jouisse ainsi. J’arrête tous mouvements et la pression retombe un peu. Des mains inconnues me touchent les seins, étirent mes tétons durcis par les attouchements. Je n’y prête aucune attention. Des doigts encore me tiennent les poignets, d’autres cramponnent mes chevilles. La sensation fugace que quelque chose est attaché à chacun de mes membres, mais c’est fait dans la douceur et je n’ouvre pas les yeux, juste bercée par les coups de reins de René. Le sexe de mon mari n’est plus dans ma bouche, il frôle ...
    ... simplement l’ourlet rouge de mes lèvres, le gland frotte dessus, alors que lui me tient par les cheveux. Celui de René cesse de bouger en moi et je le sens lentement mollir dans l’antre chaud de mon entrecuisse. Je garde les paupières closes alors que j’ai la certitude que quelque chose d’inhabituel va m’arriver. C’est une sensation indéfinissable, mais bien réelle. Une des mains de Michel s’est posée sur ma nuque alors que de la seconde, il fait passer devant mes yeux une sorte de foulard. En quelques secondes, je suis dans le noir et j’ai compris que c’est un bandeau que mon mari m’a mis. Il ferme celui-ci derrière ma tête et alors que je vais pour lui demander ce qu’il fait, un petit objet métallique s’insinue entre mes dents. Je ne peux plus parler, ni même refermer les mâchoires. Ma bouche reste largement ouverte et je dois faire des efforts pour prendre de l’air, pour respirer et aussi pour comprendre. Combien de mains viennent de me soulever ? Sans me faire mal, je suis transportée et remise debout alors que je sens mes bras relevés et mes jambes écartées. Mes poignets sont attachés, mes chevilles subissent le même sort. Mes membres liés, je forme un grand X et suis immobilisée. J’entends encore des râles de plaisirs qui arrivent d’un peu partout de la pièce, mais je dois être sur l’estrade. Puis, les bruits s’estompent un à un et je pense que je suis désormais l’unique attraction de la fête. Quelqu’un s’est emparé de l’un de mes tétons et des doigts le serrent, le pressent. ...
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