Canicule
Datte: 08/10/2018,
Catégories:
ff,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... aux joues. Julie se délecte de l’émotion de Sophie, et décide de la pousser dans ses derniers retranchements. — Tu veux que je monte un peu plus encore, demande-t-elle, perverse. Sophie déglutit péniblement et se mordille les lèvres pour ne pas répondre. Implacable, Julie insiste et susurre : — Tu veux la voir ma culotte ? C’est un tout petit oui, étranglé, que lâche enfin Sophie, l’air contrit, la tête basse. La perverse Julie, les deux mains à plat sur l’ourlet de sa jupe, entreprend alors, avec une lenteur exaspérante, de faire glisser le tissu sur ses cuisses galbées. Elle entrouvre légèrement les cuisses. — Encore, demande plaintivement Sophie d’une toute petite voix. Julie retrousse alors largement sa jupe, jusqu’au nombril, et posant ses mains à plat sur l’intérieur de ses cuisses, de part et d’autre de son sexe, elle s’ouvre largement et dévoile un ravissant slip couleur chair. Si un élastique lui enserre la taille, le reste du sous-vêtement n’est qu’un voile, parfaitement transparent qui ne cache rien, ou si peu, de son sexe. Et ce qui pourrait être une couture centrale révèle en fait l’existence d’une ouverture verticale. — Eh, mais tu es complètement rasée, constate Sophie, les yeux écarquillés. Lascive, Julie écarte doucement l’ouverture centrale de son slip, révélant une très mince bande de poils sombres qui se dessine comme un point d’exclamation sur son pubis, au-dessus de sa chatte parfaitement imberbe. Les lèvres sombres de son sexe sont légèrement ...
... entr’ouvertes. "Non, jamais totalement rasée. Ça te plait ?" Sophie respire plus rapidement, et ce n’est pas la chaleur atmosphérique qui est en cause. La voix rauque, elle n’arrive à articuler qu’un faible et timide "Oui". Sa main s’est faufilée entre ses cuisses. Sa corolle est trempée et ses doigts s’insinuent doucement entre les lèvres toutes gonflées. L’ourlet délicatement frisotté des petites lèvres s’épanouit sous ses caresses délicates pratiquées du bout des doigts. — Tu veux que je l’enlève mon slip, demande d’une voix onctueuse la brune impudique. La moue gourmande de Sophie et son haussement de sourcils constituent une réponse évidente. — Non mais, où veux-tu en venir, enchaîne alors l’eurasienne d’un ton sec en rabattant brutalement sa jupe. Ce changement de ton crucifie littéralement Sophie. Avant qu’elle n’ait pu réagir, l’eurasienne enfonce le clou : — Je te montre ma culotte, tu me montres ta foufoune, je te touche, tu me touches, serine Julie en balançant des épaules comme une gamine. Tu ne crois pas que ça fait un peu scénario touche-pipi : il me semble qu’on passé l’âge ! Totalement désarçonnée par ce revirement de situation, Sophie se raidit et tire nerveusement sa robe sur ses cuisses. Tout à coup honteuse, elle se retrouve adolescente, confondue par un censeur implacable, elle retrouve instantanément le désarroi dévastateur de l’enfant pris sur le fait et qui au-delà de la peur de la punition inéluctable redoute par-dessus tout d’être la risée de ses camarades. Le ...