Canicule
Datte: 08/10/2018,
Catégories:
ff,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... Tu te ballades sans slip ! Non mais, t’as rien remis après le dernier essayage ! Et t’es là depuis un quart d’heure, avec ta robe ras la touffe ! Gonflée la meuf ! Non mais oh, ça t’arrive souvent ?— Les slips, c’est pour les pantalons ou les jupes longues, répond Sophie sans se démonter le moins du monde. Une jupe ou une robe courte, ça se porte sans rien, avec un string à la limite. Sinon, quel serait le plaisir ? C’est tellement excitant le risque.— Merde alors, je te savais gonflée, mais là, tu me scies !— Oh, eh, n’en rajoute pas trop ! Ça ne t’es peut-être jamais arrivé à toi, demande Sophie en louchant sur la jupette plissée de la belle eurasienne.— Bien sûr que si ! répond la jeune femme comme si la chose était parfaitement naturelle et évidente. Je dirais même que c’est assez exceptionnel si aujourd’hui je porte un slip. Mais TOI ! Je n’aurais jamais imaginé ça de toi ! Ça fait longtemps ?— Pour être franche, jamais, au grand jamais, je n’aurais osé faire ça il y a quelques années. Mais à partir du moment où je suis sortie avec Marc, il n’a pas arrêté de me tanner à ce sujet, jusqu’à ce que je cède ! Au début, c’était juste à la maison, et puis il a insisté pour je ne mette rien sous ma jupe quand on sortait en boîte. Mais bon, faut pas pousser, pour aller au boulot, j’en mets, enfin …souvent …— Donc, à chaque fois qu’on se fait une petite soirée et que tu es en jupe ou robe, en fait, tu te ballade les fesses à l’air, … comme moi ! Eh bien comme çà, on est deux ! ...
... Les deux jeunes femmes rient de cette similitude et échangent des regards complices, plein de sous-entendus. — Oh je crois, reprend Julie, qu’on a plein de choses à se raconter toi et moi ! Les deux jeunes délurées reprennent une position plus conforme à la décence, un duo de mamies bavardes tente en effet de se frayer un passage sur la terrasse, bousculent tables et chaises avec leurs cabas et s’affalent bruyamment sur de pauvres fauteuils en rotin qui gémissent sous l’effort. Un grand sac à provision se renverse, étalant son contenu sur le pavé au grand dam d’une des petites vieilles qui s’échine à ramasser ses trésors maraîchers. Sous l’effort, coincée dans son fauteuil et handicapée par son imposante poitrine, la pauvre gesticule en vain, se contorsionne. Dans un même élan, Julie et Sophie se lèvent pour voler au secours de la mamie désespérée. Les provisions n’ont pas encore rejoint le sac en rafia que déjà les commères remercient avec profusion les donzelles, présentent leurs excuses pour le dérangement, et reprennent les sempiternels poncifs sur l’étonnante amabilité des jeunes femmes : — … parce que tous les jeunes sont pas comme vous, Mesdemoiselles ! déclare l’une.— Vous êtes charmantes et bien mignonnes, enchaîne l’autre.— Voila des jeunes femmes bien aimables et bien élevées comme on aimerait en rencontrer plus souvent … Julie a bien du mal à ne pas rire sous cette avalanche de compliments. "Jeunes filles modèles, tu parles", pense-t-elle alors qu’accroupie, elle ...