1. Canicule


    Datte: 08/10/2018, Catégories: ff, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... lorgne les fesses bien pommées que Sophie, malgré ses efforts, ne peut lui cacher dans la manœuvre ! La péroraison de petites vieilles continue alors que Sophie et Julie ont terminé le ramassage. Les jeunes femmes échangent un regard complice et, d’un commun accord, ramassent leurs propres emplettes. — On va chez toi ? demande Julie. Sophie hoche la tête et salue brièvement les deux pécores. — J’espère qu’on ne vous fait pas fuir, déclare la plus fardée des mamies qui visiblement regrette de ne pouvoir prolonger sa discussion avec ces deux jeunes femmes "si charmantes et si serviables". Julie et Sophie s’enfuient, légères et gracieuses, remontent d’abord l’avenue quasi déserte, passant de marronniers en marronniers pour profiter de l’ombre, avant de bifurquer vers le centre historique de la ville dont les petites rues étroites et piétonnes s’avèrent plus fraîches et plus agréables, même si parfois des relents de moisi couvrent les parfums des nombreuses jardinières abondamment fleuries disposées au milieu du passage. Elles marchent d’un pas alerte, silencieuses mais complices, leur démarche énergique détonne avec les déambulations apathiques des touristes suants. Elles, ne prennent pas le temps d’admirer les façades restaurées des bâtiments, ni les statues et fontaines qui jalonnent leur parcours mais s’amusent des regards en coin. Sophie observe sa compagne avec envie. "Quelle superbe nana" se dit-elle. "C’est bien vrai qu’elle a des seins ahurissants, provocants : ils ...
    ... sont libres sous le chemisier et ça ballotte à peine ! Et quelle allure ! ". La grâce inimitable de ses hanches qui ondulent doucement, sans excès, dans un mouvement doux, presque hypnotisant, sa silhouette parfaite, ses longs cheveux de jais qui lui tombent jusqu’au bas du dos, son teint mat et ses traits délicats, Sophie a parfaitement conscience que les regards admiratifs des passants se portent avant tout sur la superbe eurasienne, si jolie et si "différente", tellement hors du commun qu’elle se sent, elle, reléguée au rôle de figurante. Elle n’en nourrit aucun retentissement, mais réalise soudain la différence qui les sépare : si elle, Sophie, est habituée aux oeillades admiratives, voire concupiscentes des hommes, elle constate que son amie s’attire les regards des deux sexes, les femmes lui réservant des coups d’œil aussi étonnés qu’admiratifs et dépourvus d’animosité. Continuant leur chemin, les deux jeunes femmes, débouchant d’une minuscule ruelle qui marque la fin de la zone piétonne, s’engouffrent dans l’entrée monumentale d’une ancienne manufacture reconvertie en résidence cossue. Dans le vaste escalier, un peu trop solennel, Sophie grimpe rapidement vers son appartement, parfaitement consciente que Julie la suit, à quelques marches près, histoire de profiter du spectacle coquin de ses fesses nues. Que son amie puisse apercevoir les globes fermes de ses fesses ne la gène pas, bien au contraire. Légère et amusée, Sophie retrouve son âme de quinze ans, les petits ...
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