1. Le Petit Chaperon Rouge (1)


    Datte: 11/10/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... S’écria la tendre demoiselle en découvrant le sexe tendu du loup. Mon Dieu, que c’est grand ! – C’est pour te donner plus de plaisir mon enfant ! Le Petit Chaperon Rouge approcha timidement sa main de cette verge offerte. Ses doigts l’effleurèrent. – Quelle douceur… soupira-t-elle. – Oh Petit Chaperon Rouge… Gémit Loup qui ne s’attendait pas à se revirement de situation. – Apprends-moi à faire l’amour, l’implora-t-elle. Son regard tendre troubla le loup. Il s’allongea à ses côtés, la blottissant contre sa poitrine musclée. Le Petit Chaperon Rouge se pressa contre la fourrure soyeuse en ronronnant. Sa main caressa le poitrail brûlant, un gros cœur battait rapidement sous sa paume. Les poils s’affinaient sur son ventre plat et musclé. Ses doigts effleurèrent la proéminence rougie, elle frétilla nerveusement. Le regard troublé du loup bouleverse la curieuse demoiselle. Ses doigts suivaient le motif veiné en relief, puis s’enroulèrent autour de la verge épaisse, sans pouvoir en faire le tour. Le loup les enveloppa de sa grosse main griffue. Il les entraîna dans un mouvement ample et caressant sur toute la longueur. Le Petit Chaperon Rouge regardait leurs mains liées aller sur ce sexe intimidant, faire un mouvement circulaire de la paume sur le gland et revenir à la base. Ses doigts pressés moulaient les veines épaisses. Le souffle du loup se fit rauque et profond, ses soupirs semblables à des grognements bestiaux excitaient la demoiselle. Ses yeux aveuglés de désir ...
    ... l’observaient. Le Loup voyait dans son regard tant d’amour et de tendresse qu’il accusa le coup. Il n’avait eu à répondre qu’à des regards de haine et de méchanceté. Et le sien n’avait eu à réfléchir que ces sentiments. Mais là ? Il était désemparé. Le Petit Chaperon Rouge reconnu le regard du voisin. Il n’avait plus rien de disgracieux à ses yeux. La main de Loup lâcha celle du Petit Chaperon Rouge. Il s’abandonnait à sa sensualité, tandis qu’il caressait son dos et ses fesses. La demoiselle porta le gland à ses lèvres, décidée à lui offrir autant de plaisir qu’elle en avait eu. Elle le huma et l’embrassa tendrement, puis la pointe de sa langue le caressait, le titillait comme s’il s’agissait du bouton d’amour de Mère-grand. Loup lui apprit à le goûter profondément, à lui donner les merveilleuses caresses qui le faisaient frissonner de plaisir et l’enivraient. Le doux regard du Petit Chaperon Rouge le troublait. Il pouvait y lire sa joie de découvrir les plaisirs qu’elle lui procurait. Il l’attira doucement à lui et l’allongea sur le dos en l’embrassant langoureusement. Loup se cala entre ses cuisses et présenta son gland à cette petite fente virginale. Il pressa délicatement l’entrée soyeuse. La longue verge épaisse de l’animal glissa dans le fourreau brûlant et humide. Le Petit Chaperon Rouge hoqueta de douleur. Son corps se crispa sous celui de Loup. Il s’immobilisa, embrassant sa bouche, ses joues, son cou. – Ça fait toujours un peu mal la première fois, la rassura-t-il. Mais n’aie ...
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