Fruit de l'églantier
Datte: 12/10/2018,
Catégories:
f,
h,
fh,
campagne,
telnet,
amour,
cérébral,
Masturbation
amourdura,
... admire un peu veut bien que le mec qui lui a fait un enfant l’accompagne sur son chemin de vie. Moi, donc. Peut-être. La brocante se finit bien, belles ventes dans les dernières heures. Je rentre tard dans la nuit. Pas de courriel d’elle. Mais à peine ai-je fini de lire mes autres messages qu’un texto arrive : Je retourne donc chez Patricia, allume des feux dans tous les fourneaux en état de marche. Si par chance elle décidait de rentrer demain matin, j’aimerais qu’elle trouve un chaud cocon à son retour, où je puisse la câliner sans crainte de refroidissement. Voilà que je recommence à m’inquiéter pour sa santé… Je dors depuis quelques heures lorsque je sens une présence dans la chambre. Je crois d’abord rêver, mais la présence s’approche du lit et vient s’allonger contre moi. Chaude, douce, enveloppante. Entièrement nue, Patricia se glisse entre mes bras et couvre mon torse de baisers, s’attardant sur mes tétons qui réagissent immédiatement. Dès que ma queue a suffisamment répondu à ses attouchements, elle vient ...
... sur moi. Mon sexe tendu entre ses cuisses, elle se laisse complètement aller entre mes bras. Longuement, elle murmure des mots d’amour, de désir et de tendresse. Lorsque les mots lui manquent pour raconter à quel point je lui ai manqué, combien son corps me réclamait, combien il lui a été difficile de se concentrer sur son travail, elle se redresse et m’offre ses seins à embrasser. Finalement, sans me laisser le temps de lui poser la question qui brûle mes lèvres et mon âme depuis son arrivée, elle bascule sur le côté, prend ma main entre les siennes et la glisse entre ses cuisses. Le bassin cambré, elle amène mes doigts contre sa fente… d’où je sens poindre un petit fil de coton. Je l’entends à peine me demander de retirer le tampon et de prendre sa place. Balle au centre, tout (re)commence. Un fulgurant mélange de soulagement, de bonheur, de tendresse, de désir, d’espoir, d’impatience, me met sens dessus dessous. On dit que c’est ça, l’amour. Du comme ça, avec cette femme, j’en veux des tonnes, et pendant longtemps.