1. Le pain du ménage


    Datte: 14/10/2018, Catégories: fh, ff, fbi, extracon, piscine, fsoumise, jalousie, vidéox, entreseins, Oral pénétratio, init, initfh, extraconj,

    ... terriblement jouissive. Mes lèvres vaginales sont parcourues, mon clitoris est excité, mon sexe est pénétré d’un ou plusieurs doigts. Le cunnilingus qu’il effectue est formidable. Je m’entends dire, presque malgré moi : — J’ai envie de goûter à ta verge.— Viens, suce-moi, ma chérie. C’est ce que je fais avec plaisir, avec désir. Je ne me reconnais plus : j’apprécie de baiser avec cet homme que je connais à peine, cet homme que je n’aime pas, même si j’apprécie beaucoup son physique. Il bande fermement ; sa queue dont j’avais aimé la physionomie lorsqu’elle était juste gonflée m’apparaît comme une colonne impressionnante, tant en longueur qu’en grosseur. Je suce, sans pouvoir enfoncer le dard dans ma bouche ; seul le gland passe mes lèvres. Alors je lèche, allant de la base du pieu jusqu’à frein, finissant en circonvolutions sur le gland, puis je gobe ses bourses. — J’ai envie de toi, me chuchote-t-il.— Prends-moi. Oh oui, prends-moi… Il frotte son gland contre mes lèvres intimes comme s’il cherchait l’entrée de mon con, mais en fait cela lui permet d’exciter un peu plus mon clitoris avec sa queue avant l’estocade. Il entre en moi avec douceur, mais ma chatte est si lubrifiée qu’il n’a aucune peine à progresser. C’est lorsqu’il commence des va-et-vient que j’ai la révélation. Une révélation que je ne peux garder pour moi seule : — Oh, c’est bon, oh oui !— Mon amour, tu aimes ?— Oh, mon Dieu, oh que c’est bon ! Oh oui… Il me retourne pour continuer sa pénétration en levrette ; ...
    ... ma jouissance est de plus en plus grande. Il rentre tout son sexe en moi, et ce n’est que du bonheur pour moi. Il accélère le mouvement, je me sens partir : je jouis, je pars dans l’espace.« J’ai eu un orgasme avec un homme ! » Mais William continue de me limer, et lui aussi finit par obtenir la jouissance totale en éjaculant dans mon antre. Nous avions tout deux fait des tests pour pouvoir baiser sans avoir besoin de se protéger avec des préservatifs. Après avoir déchargé en moi, je le vois approcher une verge beaucoup moins vigoureuse de mon visage. Je comprends ce qu’il attend de moi. C’est une chose que je n’ai jamais admise. Sucer une verge, oui, mais elle devait être nickel. Mais là, je n’hésite pas : je m’empare du membre viril et je le suce, je le lèche, je le nettoie de toute trace de sperme et de cyprine. J’avale même ce que je recueille, sans dégoût et de bonne grâce. Grâce à mes efforts, William reprend vite quelques forces. Et c’est ainsi qu’il me fait une seconde fois l’amour, avec plus de vigueur, plus de force, mais l’étreinte est si brûlante qu’une nouvelle vague de plaisir m’envahit. *** — En définitive, m’a demandé Nina à qui j’ai tout dévoilé sur les moments passés avec William, il a remis le couvert combien de fois ?— La première nuit, quatre fois, quasiment les unes derrière les autres. Je crois qu’il a stoppé car je demandais grâce. Le lendemain matin, je me suis réveillée de la plus douce des façons : un long et savoureux cunnilingus. Puis nous avons ...