1. Le pain du ménage


    Datte: 14/10/2018, Catégories: fh, ff, fbi, extracon, piscine, fsoumise, jalousie, vidéox, entreseins, Oral pénétratio, init, initfh, extraconj,

    ... Or, ne suis-je pas Psyché, comme elle emportée jusqu’à une merveilleuse vallée, dans un magnifique palais où je découvre un savoureux festin qui m’attend ? Un mystérieux personnage dont elle ne doit pas chercher à connaître l’identité la rejoint chaque nuit. La jeune femme apprécie grandement les étreintes et les mots doux que lui prodigue son amant. Rien ne manque au bonheur de Psyché. Mais elle perd son amant le jour où elle cherche à découvrir son visage. — Ma chérie, me dit William en se tenant derrière moi, tu es ma Psyché ; mais ne crains rien, tu pourras voir mon visage.— Déshabille-moi.— Tes désirs sont des ordres. Il m’enlève mes vêtements avec une grande lenteur ; ma robe tombe à terre. Il me félicite pour les ravissants dessous que j’ai choisis : un ensemble sexy et moderne qui me fait femme et qui ne peut qu’attiser le désir de mon partenaire. Il dégrafe mon soutien-gorge de dentelle souple et confortable avec des bonnets à balconnets qui arrondissent ma poitrine, décoré de quelques nœuds de satin bleu. Au lieu de le faire tomber au sol, il accompagne le tissu sur mes seins d’une sensuelle caresse. Il défait les quatre jarretelles, m’enlève mes bas en lissant mes jambes, puis il défait le porte-jarretelles. Enfin il ne me reste plus qu’un string assorti au reste de mes dessous. Il me l’enlève, me caressant les fesses et parcourant mon pubis en enfouissant ses doigts dans ma toison. Je suis nue devant lui. Contre toute attente, je ne ressens pas la pudeur que ...
    ... je redoutais ; plutôt un sentiment de satisfaction. Surtout lorsqu’il me regarde. Comme l’examen se prolonge, je lui demande : — Tu n’es pas déçu, j’espère ?— Comment pourrais-je l’être ? Tu es très belle.— Me trouver nue devant toi, c’est très intimidant.— Comme je te le disais, je n’ai rien à cacher. Il se déshabille devant moi. Je ne peux détacher mon regard de son corps qui se révèle à moi. Il est sublime.« Il est bien plus beau nu qu’habillé… », ne puis-je m’empêcher de penser. Ce n’est pas un athlète, mais il a un corps très bien proportionné, avec des membres musclés, un ventre sans embonpoint, un torse large sans beaucoup de poils. Il est agréable à regarder. Lorsqu’il retire son boxer, apparaît sa verge légèrement gonflée. Sans m’en rendre compte, je fixe ce sexe qui – c’est bien la première fois – m’attire tout de suite. William m’entraîne vers le grand lit à baldaquin. Il vient m’embrasser tout en caressant mes seins gonflés de désir. Il s’amuse à les baiser, à les caresser avec beaucoup de douceur, tout en prenant son temps. Il titille les pointes, les mordille, s’amuse avec les tétons. C’est très plaisant et j’y trouve presque autant de plaisir qu’avec Nina. Lorsqu’il atteint ma vulve, je ne peux réprimer un feulement de plaisir. Jamais on n’est venu fouiller mon intimité de cette façon : il y a de la douceur, de la sensualité ; de la vigueur aussi, une sorte de fermeté qui fait que je suis la chose de cet homme. Pourtant, cette soumission est cette fois-ci ...
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