1. Le pain du ménage


    Datte: 14/10/2018, Catégories: fh, ff, fbi, extracon, piscine, fsoumise, jalousie, vidéox, entreseins, Oral pénétratio, init, initfh, extraconj,

    ... me le transmettras pas. *** Encore une fois je suis trop conne : j’accepte de cohabiter avec lui. Par contre, je lui interdis l’accès au lit conjugal. Il doit se contenter de la chambre d’amis. La situation de me trouver face à lui chaque soir m’ennuie, et plus le temps passe, plus je rentre tard. Je m’absente sans but, allant au cinéma pour passer quelques heures, jusqu’au jour où je vais chez Nina, ma meilleure copine. Je lui dis tout de suite : — J’ai envie de savoir comment on peut se donner du plaisir entre femmes.— Oh, toi, tu es vraiment mal.— S’il te plaît. Je veux savoir comment c’est. Ne me refuse pas ça.— Ne t’inquiète pas, je ne vais pas te repousser. D’autant plus que j’ai envie de toi, depuis très longtemps. Je me dis, en te voyant à poil dans les vestiaires "Dommage qu’elle ne soit pas lesbienne."— Alors prends-moi. Nina commence à me déshabiller tout en me couvrant le corps de petits baisers. M’ôtant mon chemisier, elle pose ses lèvres sur mon ventre et mes épaules. Dénudant mes seins, elle les baisote. En baissant mon pantalon et mon slip, elle dépose un baiser sur ma toison à quelques centimètres de ma vulve et couvre de poutous mes fesses. Tout en me mettant nue, elle se déshabille. Dans la tenue d’Ève, nous nous enlaçons étroitement. Elle me pousse sur le lit et vient embrasser mes seins avec une douceur que je ne connais que trop peu. Elle s’applique à titiller mes mamelons, les faisant s’ériger à l’extrême. Mes nichons deviennent si tendus qu’ils me ...
    ... font mal, mais c’est une douleur particulièrement jouissive. Elle continue de me caresser les seins tout en descendant le long de mon ventre. J’ai les jambes écartées, comme chez mon gynéco, le sexe béant et dégoulinant. Je suis effrayée d’une telle impudeur ; pourtant, pour rien au monde je ne voudrais interrompre ce moment. Elle pose la bouche sur le haut de mes cuisses. Sa bouche remonte tout doucement vers mon sexe, y déposant des baisers. Je suis secouée par un orgasme. Elle me laisse retomber sur terre pour repartir à l’assaut de ma vulve après une pause. Elle entreprend de me lécher. Elle alterne de grands coups de langue qui me transpercent et de petits coups comme un chat lapant une écuelle de lait. Mon intimité est trempée, et Nina boit ma mouille. Elle s’empare de mon clitoris, caresse mes lèvres, introduit un doigt en moi. Je halète, je râle, je grogne, mon corps se convulse. Je tiens la tête de Nina pour qu’elle aille plus loin en moi. Mon esprit est envahi de mille images, les plus dépravées des films pornos que mon mari m’a contrainte à regarder avec lui. Une vague de plaisir me submerge. Je pense que j’ai hurlé, que mon corps s’est raidi, que je me suis tétanisée. Je pense, car mon esprit disparaît dans le néant. Revenant à moi, je me sens bien, libérée, absolument zen. Nina m’embrasse partout sur le dos, me dispensant mille caresses. — Alors ma princesse, tu as aimé ?— C’est la première fois que j’ai un orgasme.— Réellement ?— Je t’assure, ma chérie.— Tu n’as ...
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