Le pain du ménage
Datte: 14/10/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
extracon,
piscine,
fsoumise,
jalousie,
vidéox,
entreseins,
Oral
pénétratio,
init,
initfh,
extraconj,
... jamais joui avec ton mari ou avec un autre homme ?— Non. Elle s’est mise sur le dos et elle a ouvert les cuisses. Alors je tente de reproduire sur elle les baisers et les caresses qu’elle m’a prodigués. Je suis très malhabile ; pourtant Nina semble apprécier mes traitements. Mon mari, constatant que je m’échappe un peu plus chaque jour, s’exclame : — Dis-moi, est-ce que tu me fais cocu ?— Quoi, tu me demandes si je te trompe ?— Oui, j’aimerais bien savoir s’il y a un autre homme.— Tu ne crois pas que tu es pas mal placé pour me poser cette question ?— Ce n’est pas pareil. Les hommes et les femmes n’ont pas les mêmes besoins. Je préfère ne pas répondre à cette attaque. Je n’aurais jamais le cran de lui dire « J’ai couché avec Nina. » Et puis de toute façon, sa préoccupation est de savoir s’il y a un autre homme. Ce n’est pas le cas. Mais s’il apprenait que sa femme a fait l’amour avec une femme, je crois qu’il péterait les plombs. Alors je lui réponds perfidement : — Il n’y a pas d’autre homme… pour l’instant. *** William m’emmène dans un endroit charmant, en pleine campagne, dans un lieu loin de tout. Il s’agit d’une sorte de petit château qui lui vient de sa famille. Combien de femmes a-t-il menées ici ? Sans doute beaucoup, mais je n’en ai cure. Je sais comment les choses vont se passer : il va me sauter, et je vais l’accepter. Les autres détails m’importent peu. William est un gentleman ; je suis certaine qu’il n’est pas de ces hommes à violer leur conquête pour assouvir ...
... leurs vils instincts. Du moins je l’espère et m’en convaincs. Pour autant, je ne suis pas ici pour jouer les prudes, et il est trop tard pour lui dire « Non, pas ce soir. » Nous arrivons le vendredi soir ; le crépuscule s’étend sur les champs à l’entour, et une légère brume s’élève. Il gare la voiture dans la cour, descend, toujours très courtois m’ouvre la portière. Puis il me fait entrer dans le lieu. Le hall est décoré de trophées de chasse et de peintures. Dans la cuisine sont disposées des victuailles. — Amélie a fait des merveilles, dit-il.— Qui est Amélie ?— Tu n’as rien à craindre : nous serons seuls ce week-end. Amélie est la femme du fermier voisin qui s’occupe de la maison lorsque je suis absent, la prépare avant mon arrivée et fournit ma table pour moi et mes hôtes. Tu es ma seule hôte. As-tu faim ? Sers-toi, n’hésite pas. Je goûte à quelques-uns des mets proposés ; cependant mes pensées sont ailleurs. Les plaisirs de la bouche sont une chose ; je sais que tout à l’heure c’est un tout autre art que va déployer cet homme élégant et attrayant. La chambre est, elle aussi, décorée de tableaux représentant pour la plupart des scènes érotiques tirées de la mythologie : Aphrodite d’une beauté sublime offrant à Pâris, nu et magnifique, la plus belle des mortelles, Hélène qui ne voile rien de son corps. Je reconnais la belle et chaste Artémis découverte par Actéon alors qu’elle prend un bain avec ses compagnes chasseresses. Il y a aussi l’enlèvement de Psyché par Cupidon. ...