Mon pauvre Bernard, suite et fin...
Datte: 15/10/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fplusag,
copains,
Collègues / Travail
jardin,
danser,
fête,
extraconj,
... libérais totalement. Je sentis la crème couler sur mes fesses et les mains de Maryvonne l’étaler. — Écarte un peu les jambes, ordonna-t-elle. Je m’exécutai, facilitant ainsi la protection que s’appliquait à réaliser Maryvonne. J’eus un frisson lorsque je sentis ses doigts effleurer mes poils et m’enduire l’intérieur des cuisses. — Tourne-toi, dit-elle, ponctuant ceci d’une tape sur la fesse. Sans hésitation, je m’allongeai sur le dos mais, croisant son regard, j’y vis une intensité, une lueur inhabituelle. Je me laissai aller, fermant les yeux mais ne pus m’empêcher de me remémorer ce que tu m’avais dit d’elle. Lorsque vous étiez ados, elle avait beaucoup flirté, toujours très discrètement mais tout finit par se savoir, avec une de vos copines communes, ouvertement lesbienne. Puis elle avait rencontré Francis et l’avait épousé. Je repensai à ceci lorsque je sentis ses mains sur mes seins. — Tu les protèges bien quand tu t’exposes au soleil ? La peau est très fragile me dit-elle, les massant longuement. Malgré moi, je sentis mes tétons se dresser.— Non ! me dis-je, pense à autre chose ! Ce ne sont que des mains de fille qui te passent de la crème pour te protéger de soleil. J’avais beau me dire tout ce que je voulais, j’appréciais beaucoup ces caresses, et mes tétons devenus très durs roulaient maintenant sous ses paumes ouvertes. Et le bénéfice de ces caresses ne se traduisait pas que sur le bout de mes seins ; je sentais un fourmillement familier dans mon minou, ...
... fourmillement généralement accompagné d’écoulements traduisant un plaisir évident. Je ne savais plus comment me comporter. J’avais gardé les yeux fermés car je savais qu’elle attendait que je les ouvre pour y lire mon accord pour aller plus loin. Et cet accord, même si je découvrais que mon corps avait de plus en plus envie de le donner, je ne voulais pas, moi, le lui donner. Mais j’avais bien compris que si je croisais son regard, je ne saurais pas lui dire non. Alors, advienne que pourra. Je gardai les yeux fermés et j’attendis la suite des événements. Elle finit par lâcher mes seins pour s’intéresser à mon ventre puis à mes jambes, en remontant vers les cuisses. Lorsque ses mains se saisirent de mes pieds pour les écarter, je me sentis fondre et, lorsque ces mêmes mains se mirent à caresser l’intérieur de mes cuisses, allant et venant jusqu’à toucher mes poils, je décidais de capituler. J’ouvris les yeux et, comme je m’y attendais, les siens s’en emparèrent avec un sourire complice. Et, alors que je m’attendais à je ne sais quoi, elle me dit simplement : — Voilà ! Tu ne risques plus rien et, se laissant tomber sur sa serviette sur le dos,— À toi de me protéger Je ne pouvais guère faire autrement que de lui rendre le même service. Sa peau de blonde, presque rousse, devait facilement brûler au soleil. Mais je ne savais pas par où commencer. J’entrepris d’enduire d’abord son visage, elle avait fermé les yeux, puis son cou, ses épaules, son ventre. Ses tout petits seins méritaient le même ...