Mon pauvre Bernard, suite et fin...
Datte: 15/10/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fplusag,
copains,
Collègues / Travail
jardin,
danser,
fête,
extraconj,
... dû apercevoir. — C’est toi que j’aurais dû épouser, murmura-t-il à mon oreille, me gardant dans ses bras. Lorsqu’il desserra son étreinte, ses yeux et les miens se fixèrent et un courant que j’espérai invisible passa de lui à moi et termina au fond de ma culotte, ou dans ce qu’elle contenait. Je me sentis soudain comme électrisée, aimantée et je ne pouvais quitter ses yeux. Les siens avaient regardé autour de nous et, rassuré sur le fait que personne ne le verrait, sa main droite avait empaumé mon sein droit et ses yeux avaient replongé dans les miens. Combien de temps sommes-nous restés ainsi ? Jusqu’à ce que tu nous appelles car la mariée arrivait. Comme j’étais son témoin j’ai pu rester près de lui, assurée que lorsqu’il se retournait, il avait une vue sur mon décolleté et cette idée me donnait chaud. Lorsque j’ai signé les registres, j’ai bien cru ne pas y arriver tant son regard me tétanisait. Je savais qu’il voyait mes tétons dressés et j’avais envie qu’il les touche. Au repas j’étais à sa droite, le meilleur côté pour la vue. Nous avons un peu bu, beaucoup ri, et un peu flirté. Oh ! bien sagement, et juste sous la table. Sa main venait régulièrement sur mon genou et remontait entre mes cuisses. J’aurai crié tant j’avais envie de lui. J’avais tiré sur ma jupe pour lui faciliter l’accès à ma culotte et ses doigts venaient le plus souvent possible la toucher. — Je vais l’enlever, lui ai-je dit à l’oreille. Et je suis allée l’enlever aux toilettes. Dès que je fus assise, ...
... il voulut vérifier et je reçus une seconde décharge électrique lorsque son doigt se faufila entre mes lèvres. Je participais alors à une conversation avec mon voisin d’en face, un cousin à Jean-Philippe, qui nous parlait de la culture des fruits exotiques, ce qui semblait être sa passion et qui me permettait d’avoir une contenance pendant que je me faisais doigter. En effet, Jean-Phi avait enfin trouvé ce qu’il cherchait et que j’attendais impatiemment. De son côté, je le surpris en train d’embrasser sa femme dans le cou, lui promettant sans doute de lui être toujours fidèle. Dès qu’il eut sacrifié au rituel de la première danse avec Anne-Claire, il vint me chercher : — Anne-Claire n’aime pas beaucoup danser, me dit-il. Je ne demandais pas mieux. Tu n’étais pas jaloux car tu connaissais les liens d’amitié qui nous unissaient, nous pouvions donc en profiter. À cette époque les slows revenaient souvent, pour notre plus grand bonheur ce soir. En effet, collés l’un à l’autre, sa main glissée dans mon décolleté ne pouvait être vue. J’adorais qu’il pince mes tétons mais j’avais envie de crier, de dire à tous que je voulais qu’il me fasse l’amour, là, tout de suite. Mais nous ne le pouvions pas. Ma main s’était également faufilée entre nous et caressait, à travers le tissu, un sexe qui me paraissait prêt à tous les assauts et je voulais, j’étais impatiente d’être assaillie. — Nous allons prendre l’air, a-t-il dit à Anne-Claire, qui trouva ça normal et à toi, qui ne l’entendit même ...