1. Mon pauvre Bernard, suite et fin...


    Datte: 15/10/2018, Catégories: fh, ff, fplusag, copains, Collègues / Travail jardin, danser, fête, extraconj,

    ... dans cette chambre pour faire un brin de toilette à mon minou pour le rendre plus présentable si tu avais idée de le solliciter. Au retour, je ne pus m’empêcher de le sucer un peu pendant qu’il conduisait, lui faisant retrouver un peu de vigueur, Anne-Claire pourrait ainsi profiter de sa nuit de noces. Chaque fois que je revis Jean-Philippe, nous reparlâmes de cette soirée torride, et ma culotte chaque fois se mouilla à cette seule évocation. Nous n’eûmes hélas que très peu d’occasions de nous aimer et ce fut toujours à la sauvette mais toujours très, très chaud. Lui autant que moi en avions tellement envie ! *** L’histoire qui va le plus te surprendre, sans doute, est celle-ci. C’est du moins celle qui m’a le plus surprise, ou celle que j’étais certaine de ne pas avoir. Maryvonne ? Tu revois Maryvonne ? Elle était coiffeuse, je crois. Cheveux courts, à la garçonne, quasiment pas de poitrine, pétillante, vivante, sympa, très agréable amie. C’était une copine d’enfance à toi et rapidement nous nous sommes fréquentés d’autant de Francis, son mari, était également sympathique. Il t’avait donné de bons coups de mains lorsque nous restaurions notre maison. Ils sont depuis bien longtemps partis et on n’a plus de nouvelles d’eux. Tu avais voulu une piscine alors que tu nageais comme un fer à repasser ! Alors nous avions fait creuser une piscine, ce qui à l’époque n’était pas très courant. Nous n’avions alors qu’une trentaine d’années. Et ce jour-là, Francis et toi étiez allés ...
    ... chercher des tuiles de récupération pour refaire le toit de la grange. Vous étiez partis de bonne heure et Maryvonne était venue passer la journée avec moi. Comme notre maison était un peu isolée, la propriété bien clôturée, entourée d’une haute haie, nous jouissions d’une totale tranquillité. Il faisait un soleil superbe aussi avons-nous décidé de profiter, et du soleil, et de la piscine. — Il faut nous protéger, sinon on va ressembler à des écrevisses me dit Maryvonne, se saisissant du tube de crème. Nous n’avions pas mis le haut de nos maillots mais tout de même la culotte. — Je vais te passer la crème et tu me la passeras après, décida-t-elle. J’étais allongée sur le ventre et elle entreprit de m’enduire de cette crème qui allait m’empêcher d’attraper un coup de soleil. Mollets, cuisses, dos, épaules, bras furent consciencieusement badigeonnés. — Tu vas avoir la marque du maillot quand vous irez au Cap, me dit-elle. Elle savait, nous ne nous en étions jamais cachés, que nous étions adeptes de naturisme aussi sa réflexion était-elle logique. Habituellement, lorsque j’étais seule, je bronzais nue mais du fait de la présence de Maryvonne, j’avais naturellement enfilée cette culotte. — Je ne serais pas choquée si tu l’enlèves poursuivit-elle. Et si tu l’enlèves, je l’enlève aussi, Francis n’aimerait pas que je m’exhibe nue mais entre filles, il ne sera pas jaloux.— Tu as raison, répondis-je détachant les deux petits rubans noués sur mes hanches et, me soulevant un peu, je m’en ...
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