Moi, je pourrai plus avoir d'enfant, maintenant
Datte: 15/10/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
couple,
neuneu,
hotel,
amour,
volupté,
Oral
pénétratio,
mélo,
... sur le reste aussi, je me mentais ? Je l’emmenai à la mer. On était en avril, le soleil était agréable, même si le printemps naissait à peine. Je lui conseillai d’emmener de gros pulls et plus de vêtements que nécessaire. Elle posa son sac informe dans le coffre, les yeux brillants. Le plaisir de la voir dormir, bercée par le mouvement de la voiture. De la voir s’étirer comme un chat sur une aire d’autoroute, avant de sauter sur place pour se dégourdir les jambes. Son dégoût à la vue des fruits de mer, puis son plaisir à décortiquer méticuleusement les crevettes pendant que je gobais les huîtres. Sa peur des vagues, mi-réelle, mi-jouée. Il faisait réellement trop froid pour se baigner, mais nous fûmes trempés jusqu’aux cuisses. Je lui fis écran avec une serviette pendant qu’elle changeait de pantalon. Nous finîmes la journée en une longue balade sur la plage. Elle commençait à avoir froid. J’avais toute la journée repoussé cette idée. Il fallait aller à l’hôtel où j’avais réservé. Une chambre avec un lit double et un lit simple. Je voulais qu’elle puisse choisir. Si on m’avait demandé quelle était ma décision, je serais resté muet. Je lui proposai de prendre une douche avant de redescendre. J’allumai la télévision pour ne pas cogiter en l’attendant. Je passai d’une chaîne à l’autre, regardant à peine l’écran. Je m’efforçai de ne pas la regarder quand la porte de la salle de bains s’ouvrit. Peine perdue. Elle était entourée d’un nuage de vapeur, une serviette blanche de ...
... l’hôtel drapée autour du corps, une autre en turban sur la tête. Un petit renflement de chair, au pli de l’aisselle, soulignait la naissance de ses seins. Une goutte d’eau perlait de son nez. Elle avait, sous le soleil encore jeune, attrapé quelques taches de rousseurs. La serviette s’entrouvrait à chacun de ses pas. Je n’avais pas encore vu ses jambes. Elles étaient fines, galbées, et une tache de naissance marquait son mollet droit. Je me sentais à la fois heureux et puéril de saisir à la dérobée l’image de ses cuisses. Elle s’assit de l’autre côté du lit, un pied à terre, l’autre replié sous elle. Je pouvais maintenant contempler toute cette étendue blanche et douce. Je voulais en voir plus. Quand elle se pencha vers moi, j’hésitai entre m’abandonner à son baiser et regarder encore. La serviette s’ouvrirait sans doute davantage dans le mouvement. Mais je fermai les yeux, posai ma main sur son cou. Ce n’est pas seulement sa bouche qui s’abattit alors sur moi, mais tout son corps. Ses mains tirèrent mes vêtements pour dégager mon torse, son ventre bascula sur le mien, sa jambe m’escalada sans douceur. Elle ne cessait de m’embrasser, pourtant. Elle prit ma main, la posa sur la serviette qui bientôt s’écarta. Ces seins que j’avais à peine entrevus, ces deux globes lourds et tendres, je les empaumai. Elle s’attaquait maintenant à la ceinture de mon pantalon, sans fébrilité mais avec obstination. Sa langue fouillait toujours ma bouche et j’explorai son corps à l’aveugle, émerveillé et ...