1. Du poil sous les bras


    Datte: 20/06/2017, Catégories: fh, fplusag, fagée, poilu(e)s, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral pénétratio,

    J’avais nouvellement emménagé dans cette petite bourgade de trente mille habitants et j’avais proposé mes services à une association, histoire de sortir du cadre étroit de mon environnement professionnel et d’échapper à mon isolement. C’est là que j’ai rencontré Nadine. Cette femme très effacée venait presque tous les jours car elle était à la retraite depuis de nombreuses années. Elle se mettait dans un coin et s’occupait de prendre les appels téléphoniques, consacrant le reste de son temps à faire un peu de secrétariat. Nous, de notre côté, nous étions plutôt sur le terrain, à nous occuper des personnes nécessiteuses. Les six premiers mois, je ne fis pas trop attention à cette mamie plutôt boulotte, préférant de loin la compagnie des jeunes femmes de mon âge. Il faut dire aussi que presque quarante ans nous séparaient et que cela ne facilitait pas les rapprochements. Tout ce que je peux dire c’est qu’elle était gentille, serviable, et toujours de bonne humeur. Deux ou trois fois, alors que j’attendais une mission au local, nous avions un peu discuté. Elle était veuve depuis cinq ans et n’avait pas de famille, voilà pourquoi elle consacrait toute son énergie à cette association. C’est à l’approche de l’été qu’un événement insolite la mit tout de suite en valeur. C’était un soir assez tard, nous étions trois ou quatre dans le local. La journée avait été chaude et nous transpirions beaucoup. Nadine s’est levée et est allée chercher un dossier en haut de l’étagère. Ce ...
    ... faisant, elle a levé les bras. C’est là que j’ai vu cette grosse touffe de poil sous son aisselle. J’étais juste en face d’elle, je ne pouvais pas ne pas la voir. J’en ai été de suite intensément troublé. Pourtant je n’avais jamais fantasmé jusqu’alors sur les femmes poilues et toutes mes petites amies, à commencer par les plus brunes, prenaient toujours soin de soigneusement s’épiler. Le trouble m’envahit. Je ne savais plus trop où j’en étais. Tout le reste de la soirée je n’eus de cesse de reluquer de temps à autre sous les bras de cette collègue, tâche rendue aisée par ce t-shirt sans manche. Poilue, elle l’était beaucoup plus que la normale, de longs poils noirs qui déliraient sans complexe. À un moment donné, son regard croisa le mien et je crois qu’elle s’aperçut de suite que je n’étais pas très clair et que je passais mon temps à la mater. Par la suite, je me fis plus discret. Ce soir-là, de retour dans mon appart, je me suis de suite intensément masturbé en pensant à cette femme très poilue, essayant d’imaginer l’exubérance de sa toison pubienne. Les jours qui suivirent renforcèrent encore mes fantasmes envers elle. Elle avait certes troqué son t-shirt sans manche pour un t-shirt avec manche mais, malgré tout, dans certaines positions, j’arrivais à entrevoir quelques poils. Et puis, chaleur aidant, de très larges auréoles de transpiration ornaient ses dessous de bras et contribuaient à mon excitation. Ajoutez à cela que je venais de découvrir une poitrine plutôt généreuse, ...
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