1. Du poil sous les bras


    Datte: 20/06/2017, Catégories: fh, fplusag, fagée, poilu(e)s, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral pénétratio,

    ... j’en étais tout retourné, complètement déstabilisé par cette femme qui avait pourtant l’âge de ma grand-mère. Ce n’était que pur fantasme et je n’osais évidemment aucune démarche envers elle, essayant le plus possible de rester discret mais usant, malgré tout, de petits stratagèmes pour mieux la reluquer. La semaine suivante, je fus gâté car elle remit des t-shirts sans manche et je pus à nouveau contempler cette belle touffe noirâtre. Il va sans dire que je passais plus de temps au local et que je ne m’empressais plus pour accepter les missions. Il va aussi sans dire que je venais pratiquement tous les jours. Comment remarqua-t-elle mon obsession pour sa pilosité ? Je ne devais pas être très discret. Toujours est-il que c’est elle qui prit les choses en main. Elle attendit que nous soyons seuls, ce qui était fort rare car il y avait toujours beaucoup de passage à l’assoc’. Et, la porte à peine refermée, la voici qui m’annonça : — Mon défunt mari aimait lui aussi les femmes poilues. J’ai arrêté de m’épiler le jour où je l’ai rencontré. À ces propos, le sang m’est monté à la tête, je devais être rouge jusqu’aux oreilles. — Depuis, je me suis aperçue que beaucoup d’hommes partagent également ce fantasme. Sur ce, la voici qui lève sans hésiter un bras pour dévoiler cette touffe épaisse. — Alors qu’en penses-tu Martin ?— Je vous trouve divine…— Tu peux me tutoyer. Rouge de confusion, je me suis levé, j’ai contourné la table en titubant. Je voulais toucher, je voulais sentir. ...
    ... Elle avait toujours son bras levé, j’ai plongé mon nez sous son aisselle, dans sa luxuriante forêt poilue et j’ai reniflé à perdre haleine l’odeur forte et acide de ses dessous de bras. Quel arôme, quel fumet ! Je devenais comme fou. J’ai posé une main sur sa poitrine pour la palper intensément. Elle n’a rien fait pour m’en dissuader. Au contraire, quand ma bouche a cherché la sienne pour une pelle baveuse, elle s’est donnée entièrement, sans réticence, comme une petite jeunette qui découvre le premier amour. Le loquet de la porte nous a sortis de ce monde irréel. Je n’ai eu que le temps de me dégager. Sylviane entrait déjà dans la pièce. Elle a dû nous trouver un peu trop proches l’un de l’autre ou un peu trop évaporés, elle nous a regardés d’une façon qui m’a semblée bizarre. Je suis retourné m’asseoir sagement à ma place, évitant de regarder à nouveau Nadine. Par la suite, les autres sont arrivés et un grand brouhaha a envahi la pièce. J’étais dans ma petite bulle, sur mon petit nuage, en train de me remémorer l’instant précis où nos langues s’étaient enlacées, où ma main avait palpé sa grosse poitrine, et puis l’odeur forte et acidulée de ses aisselles. Durant le peu de regards que je risquais vers Nadine, j’y découvrais ses poils, ses rondeurs harmonieuses, et ses envies pressantes. Mine de rien, elle m’a tendu une feuille, un ordre de mission. Mais dans le coin en bas, elle avait en plus écrit :31, rue des acacias. Appartement 33. J’y serai vers 23 heures. ---oooOooo--- ...
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