Du poil sous les bras
Datte: 20/06/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
poilu(e)s,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
pénétratio,
... L’immeuble était vieillot et partiellement tagué. Troisième étage sans ascenseur. J’ai frappé à la porte. Mon cœur battait la chamade. Nadine est venue m’ouvrir. Surprenante Nadine ! Vêtue d’une nuisette noire très sexy, partiellement transparente, elle était visiblement entièrement nue dessous, le fin voile masquant à peine sa lourde poitrine. Bandante à souhait, cette mamie de 64 piges qui, la porte à peine refermée, s’est de suite jetée à mon cou pour que je lui roule une pelle. Par la suite, je l’ai culbutée sur la banquette du salon. Sous ses aisselles, ses longs poils étaient toujours là, luisants de transpiration. Elle s’était changée mais n’avait pas pris de douche. Le fumet acide de ses dessous de bras était intact. Je l’ai inhalé de longues minutes puis j’ai léché ses poils. Je devenais comme fou. Cette odeur forte me faisait bander comme un taureau. Elle semblait prendre un réel plaisir à ce que je lui lèche les dessous de bras et se laissait aller, lascive. — Et tu n’as encore rien vu, se contenta-t-elle d’ajouter avec malice quand elle jugea le moment propice. Mon regard croisa le sien, ses yeux étaient joueurs et rieurs, elle m’incitait à aller plus loin. Après m’être attardé un instant sur ses deux obus lourds en forme de poire, je décidai d’explorer plus bas, puisque telle était son invitation. Il est vrai que ses touffes de poil sous les aisselles faisaient finalement pâle figure devant l’abondance de cette forêt tropicale qui ornait son entrecuisse. De ...
... longs poils noirs désordonnés s’ébattaient en tous sens, camouflant entièrement ses lèvres et débordant partout de son pubis. Ils remontaient jusqu’à son nombril et remplissaient la raie de ses fesses, elle était presque plus poilue qu’un mec, elle en avait partout. Quant au fumet qui allait avec, il vous prenait de suite à la gorge : une forte odeur de chatte, une forte odeur de pisse, un arôme inoubliable, fort, prégnant, impérial, qui me mit dans tous mes états. Je me mis à la lécher partout comme un dératé, excité au dernier degré, en essayant de profiter au maximum de ces odeurs divines. À ce rythme, au rythme délirant de mes coups de langue, elle ne tarda pas à se cabrer, je sentis la jouissance lui traverser le corps, ce qui ne m’empêcha pas de continuer. Un flot de liquide bien chaud m’aspergea la bouche, j’essayai d’en avaler le maximum avant de reprendre mes explorations profondes de sa chatte et de la raie poilue de ses fesses. Elle gémissait à nouveau en écartant largement les cuisses pour mieux s’offrir à moi. Nous fîmes une petite pause, le temps pour elle de retirer sa nuisette, qui aurait pu faire les frais de mon empressement. Puis elle extirpa prestement mon sexe de mon pantalon et entreprit de le lécher. Ma queue, quoique modeste, la faisait saliver et c’était un réel plaisir d’aller et venir dans cette bouche juteuse qui en bavait d’envie. Pour ne pas jouir trop vite, je replongeai entre ses cuisses poilues pour dévorer à nouveau sa chatte et explorer son anus ...