Du poil sous les bras
Datte: 20/06/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
poilu(e)s,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
pénétratio,
... avec le bout de ma langue. Cette raie poilue était un puissant aphrodisiaque et j’eus de suite l’idée et l’envie de sodomiser ce petit trou ridé (ce que je fis d’ailleurs quelques semaines plus tard). Mais pour l’heure c’est surtout sa chatte qui en voulait : — Prends-moi ! Baise-moi ! Je veux te sentir en moi, implora-t-elle. C’est elle qui réclamait avec insistance cette queue en elle. Comme je faisais mine de me déshabiller : — Non, prends-moi comme ça, tout habillé, j’adore ça. J’aime qu’un homme sorte juste sa queue et me prenne ainsi dans l’urgence, sans préliminaire, tellement je l’excite. Depuis le jour où j’ai compris ton intérêt pour moi, je n’ai pensé qu’à ça, que tu sois assez fou pour me coincer entre deux portes et me faire ma fête, et pourquoi pas dans le local, un jour que nous sommes seuls… Sauf que, dans la pratique, nous ne sommes jamais seuls… Ma queue plongea dans son antre humide. Cela me faisait tout drôle d’être ainsi, en costard, en train de baiser une vieille femme aux seins mous et aux aisselles poilues. Drôle mais paradoxalement très excitant. Je voyais ses rondeurs s’agiter en tous sens, au rythme de mes coups de rein. Sa chatte était accueillante, chaude et coulante. Curieusement je m’y sentais divinement bien. Au comble de l’excitation, je me penchai vers ses aisselles pour renifler son odeur ce qui déclencha chez moi un orgasme irrépressible et c’est d’un jet puissant que je me vidai en elle. J’avais rarement pris un tel pied, peut-être jamais ...
... en fait. La vision de tous ces poils associée à ces odeurs très fortes m’avait conduit dans un état second. Un peu plus tard, elle se leva et je pus voir mon jus couler le long de ses cuisses. Mais elle ne fit rien pour stopper cet écoulement. Entièrement nue, elle évoluait sans gêne dans la pièce pour mon plus grand plaisir. Quel beau spectacle que celui de cette femme mûre à la toison touffue ! Mais je dois avouer que ses touffes sous les aisselles étaient pour moi un encore plus grand aphrodisiaque. Tandis qu’elle allait nous préparer un café, je fis le tour de la pièce. C’est là que je mis la main sur son album de photos. Beaucoup représentaient un moustachu qui devait être son défunt mari. Quelques photos d’elle également. J’en remarquai trois ou quatre où l’on devinait quelques poils sous ses aisselles. Déjà plus jeune, elle était tout aussi poilue. Elle revint avec les cafés, toujours aussi nature : — Dans le tiroir de droite, il y a d’autres albums, avec des photos un peu plus privées, dit-elle joyeusement. Effectivement ! Que des photos coquines mettant en valeur la pilosité abondante de cette belle femme. Il y en avait sous toutes les coutures, dans toutes les positions. — Michel était obsédé par les femmes poilues. Un peu trop d’ailleurs car j’ai été cocufiée bien des fois… Ce n’est que vers la fin que nous nous sommes retrouvés. Avec sa maladie, il ne pouvait plus bander et même si je faisais tout mon possible pour essayer de le persuader que ce n’était pas très ...