1. Du poil sous les bras


    Datte: 20/06/2017, Catégories: fh, fplusag, fagée, poilu(e)s, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral pénétratio,

    ... grave, que je pouvais fort bien m’en passer, pour lui c’était une véritable obsession. C’est à cette époque qu’il a émis le désir de me faire rencontrer d’autres hommes. À 55 ans, alors que je n’avais jamais eu, jusqu’à présent, de vie sexuelle très reluisante, il a fait de moi une sorte de dépravée. Il passait ses nuits sur des sites de rencontre à la recherche d’hommes aimant les femmes poilues et, de temps en temps, il organisait des petits week-ends où je passais à la casserole. Au début, j’étais un peu réticente de me donner ainsi à des inconnus, mais je finis par y prendre goût. Certains de ces hommes m’aidèrent d’ailleurs à mieux exprimer ma libido… Prends plutôt l’album rouge, il y a quelques photos de ces week-ends… Michel adorait que mes poils soient source de leurs fantasmes. Les photos étaient plutôt pornos, des gros plans de queues pénétrant sa chatte poilue. Une page retint plus précisément mon attention. On y voyait plusieurs clichés d’un homme se masturbant sous ses aisselles. Je me mis à bander de suite en ravalant ma salive… — Et tu en as rencontré beaucoup, de ces hommes ?— Une petite dizaine mais la moitié d’entre eux sont revenus plusieurs fois. À la mort de mon mari, j’ai déménagé et n’ai plus donné signe de vie. Mais, plusieurs années plus tard, après avoir fait mon deuil, j’ai repris contact avec deux d’entre eux. D’ailleurs, il y en a un que je vois toujours de façon épisodique, quand il peut s’échapper de sa famille. C’est vraiment trop bon d’exciter ...
    ... ainsi un homme.— Cet homme que tu vois encore, c’est celui-ci, ai-je demandé en montrant l’album.— Oh non ! Lui, c’était un certain Pascal, il est venu assez souvent, un véritable obsédé des poils, mais je le trouvais vraiment bizarre, je n’ai pas voulu reprendre contact.— Tu n’aimais pas qu’il se masturbe sous tes bras ?— Oh si, ça c’était plutôt rigolo… mais c’est son caractère qui était bizarre. Il n’était pas clair du tout et même plutôt inquiétant.— J’aimerais en faire autant, j’aimerais branler ma bite sous tes aisselles. Tes poils sous les bras, je trouve ça hyper-bandant, j’aime les voir tes grosses touffes, j’aime les sentir, j’aime les lécher. Je me suis levé et me suis approché d’elle et j’ai glissé ma queue sous un de ses bras, commençant de suite à la baiser ainsi. J’étais tellement excité qu’il ne m’a pas fallu longtemps pour jouir. Mon jus a coulé en abondance sur ses poils luisants, les graissant un peu plus. Nous avons fini la nuit dans son lit, mais beaucoup plus calmement et sans refaire l’amour. Ce n’est qu’au petit matin que, profitant de la lumière naissante, j’ai pu inspecter en détail sa riche toison pubienne, jusqu’au sillon de ses fesses… Quelques baisers et quelques attouchements eurent vite fait de la réveiller et de lui donner envie. Nouveaux ébats lubriques entre ses cuisses poilues… qui me firent arriver en retard au boulot. — J’aimerais que ce soir à l’assoc’, tu exhibes bien tes poils, j’adore voir tes grosses touffes quand tu lèves les bras, ...
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