Cendrillon, souvenir de Corse
Datte: 16/10/2018,
Catégories:
fhh,
fplusag,
couple,
extracon,
profélève,
vacances,
plage,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
init,
... complexes, je suis furieuse d’entendre que mon mari s’abaisse à son tour à ces plaisanteries de corps de garde. Pour la première fois, je le giflerais presque, quand je vois le pauvre garçon ne pas répondre à la moquerie, peut-être par délicatesse envers moi. Mais je suis d’autant plus résolue à être aimable envers lui. C’est pourquoi j’accepte avec un certain plaisir la perspective d’une petite promenade privée, loin des autres machos… Pour aller au snack, nous pouvons soit longer la plage en passant par le cap, mais c’est assez loin, soit par les dunes, chemin plus court mais très accidenté. Je propose donc à Silvio de passer par les dunes à l’aller, et de revenir par la plage lorsque nous aurons nos paniers chargés. J’enfile directement ma petite robe bleu et blanc sur mon bas de maillot, je remets mes sandalettes et nous mettons en marche, chacun avec son panier. Je ne me suis jamais aventurée au-delà de la première dune, et je suis ravie d’être accompagnée par un beau garçon. Curieusement, je découvre qu’il est finalement plus facile de gravir les dunes que de les descendre, car cela entraîne de mini-avalanches de sable et des chutes fréquentes. C’est ce qui m’arrive dans la seconde descente : je glisse sur le dos, perds mon panier et remplis ma robe de sable. Silvio, qui me regarde d’en haut, éclate d’un rire communicatif… Nous sommes comme deux gamins ! Je lui demande, quand il m’a rejointe en bas, de fermer les yeux, car je souhaite ôter ma robe et mon bas de maillot ...
... pour enlever tout le sable que j’ai accumulé. J’aurais pu lui demander de se retourner, je ne l’ai pas fait, et rétrospectivement, je crains d’en deviner la raison secrète. Silvio obtempère, j’enlève ma robe et fais glisser mon slip de bain… Je vérifie, inquiète, si mon beau garde du corps est toujours aussi coopératif…. Pas du tout ! Il est là, à quelques mètres de moi, alors que j’ai la culotte aux genoux, et fixe intensément mon abricot épilé. Je remonte prestement mon bas de maillot, et lui jette un regard courroucé. « Merci pour ta loyauté ! », lui dis-je, mais mes mots ne font que provoquer un sourire sur ses lèvres. J’escalade derrière Silvio la deuxième dune, furieuse d’avoir des grains de sable qui me démangent dans ma culotte. La descente suivante est impressionnante, et Silvio se propose de passer devant moi pour me retenir en cas de pépin. Évidemment, au bout de quelques mètres, je glisse à nouveau, et Silvio, incapable de m’être d’aucun secours, dévisse avec moi… Nous lâchons nos paniers et nous accrochons l’un à l’autre, sens dessus dessous, jusqu’au bas de la dune. Je me retrouve sous Silvio, plein de sable dans les cheveux, accrochée à ses épaules. C’est un gag, digne d’une mauvaise comédie ! A ceci près qu’il va bientôt falloir le carré blanc. Car je sens que Silvio a une main sous ma robe, les doigts sur l’élastique de ma culotte, et l’autre sous mes fesses… Il tarde à se relever, et je sens tout d’un coup, sans la moindre équivoque, la pression de son sexe ...