PETITES ANNONCES
Datte: 18/10/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... Le jour même, Brigitte a commencé à appeler les hommes qu’elle avait choisis. Pour en éliminer tout de suite plusieurs, qui ne semblaient pas libres. Certains se montraient contents de fantasmer en conversant au téléphone avec une inconnue, comme ils l’auraient fait sur une « messagerie rose ». De sa voix chaude, Brigitte posait à l’inconnu diverses questions, du genre : « Comment aimes-tu faire jouir une femme ? Dans quelles positions ? En as-tu déjà baisé devant un autre homme ? Penses-tu d’abord à ton plaisir ou à celui de la femme ? » Quand elle sentait que son correspondant perdait pied, elle raccrochait, après lui avoir balancé : — Laisse tomber avec moi ! Va voir une pute ! Des rencontres ont été fixées pour les jours suivants. Elles commenceraient dès le lendemain, avec cinq « candidats ». Brigitte recevrait donc plus de vingt partenaires en une dizaine de jours ! En fin d’après-midi, elle a classé les envois qu’elle avait retenus, dans l’ordre de ses rendez-vous. Nous sommes allés dîner au restaurant sans reparler de tout ça. Sauf à la fin du repas, quand elle m’a demandé : — Tu es fâché ? — Pas du tout. — Quand tu me verras jouir avec un autre homme… enfin, si je jouis ! Tu supporteras ? — On verra. De toute façon, je pourrai toujours te laisser seule avec lui. — J’aimerais mieux que tu restes ; pour que tu me dises ce que tu penses de chacun d’eux. De cette manière, Brigitte m’obligeait à accepter de devenir le complice de ses infidélités à venir ! De retour chez ...
... nous, elle m’a gentiment provoqué en punaisant sur un mur, à côté de notre lit, les photos des érections qu’elle avait choisies. En lui faisant l’amour, je ne cessais de penser à ses prochains rendez-vous. Dès mon réveil, le dimanche, j’ai éprouvé des sentiments curieux, appréhension et désir mêlés. Je voulais jouir, mais Brigitte n’y tenait pas — Je préfère que tu te retiennes toute la journée ; comme ça, tu auras encore plus envie de moi ! Brigitte était une garce ! Mais une garce que j’adorais. L’homme de son premier rendez-vous a sonné un peu avant midi. Brigitte, juste vêtue d’une courte nuisette blanche, l’a emmené dans le salon, l’a invité à s’installer sur le canapé. — Je vous laisse faire, pour commencer ! lui a-t-elle annoncé avec un sourire aguicheur. Mon sexe a très vite durci sous mon peignoir quand j’ai vu l’homme caresser les cuisses de Brigitte, puis son ventre et ses seins. À l’évidence, elle appréciait. Mon trouble s’est encore accru quand elle l’a déshabillé, puis s’est penchée pour le sucer. Le spectacle de ma femme offrant une fellation à un inconnu était plus obscène que tous les films X que j’avais vus. Comme Brigitte me l’avait demandé, j’ai fait plusieurs photos en gros plan quand l’homme a pénétré son vagin. Elle se tenait allongée sur le canapé, jambes repliées. Hélas pour lui, l’homme a joui au bout de quelques minutes. Je n’en étais guère étonné : Brigitte possédait un vagin « casse-noisettes » irrésistible. — On arrête là, a-t-elle dit au visiteur ...