1. PETITES ANNONCES


    Datte: 18/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... qui retirait sa bite molle de la chatte béante. L’homme s’est rhabillé, puis nous a quittés, assez penaud. Le second, qui est arrivé à deux heures, s’est montré encore plus déplorable. Il ne bandait en effet quasiment pas quand il a voulu pénétrer le sexe de Brigitte. — Je… je suis désolé, mais ça me gêne de faire ça devant votre… mari. — Eh bien, tant pis pour vous, a rétorqué Brigitte, plutôt vexée. Je la comprenais : c’était comme une insulte de la part de cet homme de ne pas bander pour une femme aussi séduisante. Tout a changé avec le partenaire suivant. Brigitte a joui une première fois, alors que l’homme lui léchait la vulve. Ce fut un spectacle particulièrement renversant de voir pour la première fois ma compagne jouir avec un autre. Elle a joui encore plusieurs fois avec les deux partenaires qui ont suivi. Elle était rayonnante. — Tu n’as pas été jaloux ? — Non. Enfin, peut-être la première fois que tu as joui. Mais ensuite, au contraire, j’ai été heureux de te voir envahie par le plaisir. Tellement de fois ! Tu étais plus belle, plus désirable que ...
    ... jamais ! J’avais eu du mal à retenir mon envie de me branler en la voyant jouir de façon aussi bestiale. — À ton tour, maintenant, mon petit mari ! Elle s’est remise à quatre pattes, posture qu’elle affectionne tout particulièrement. Je l’ai prise en levrette, pour jouir très vite en elle. Durant les dix jours suivants, après en avoir encore éliminé quelques-uns, elle a rencontré les autres hommes avec lesquels elle avait rendez-vous. Résultat des courses : Brigitte, désormais, aurait plus d’une quinzaine d’amants à sa disposition ! Ce qui m’a le plus étonné, dans cette aventure, fut mon absence de jalousie. J’étais même fier que ma femme plaise autant. À présent, voir Brigitte faire l’amour avec un autre est devenu pour moi une véritable drogue. Je suis presque toujours présent quand elle reçoit un de ses amants. Ma jouissance, ensuite, avec elle, est infiniment plus violente qu’auparavant. Les hommes que nous recevons si « généreusement » chez nous ne savent pas qu’au fond, nous les utilisons. Et les dindons de la farce, au final, ce n’est pas nous, mais eux ! 
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