1. Morgane et Ambrosius (1)


    Datte: 20/10/2018, Catégories: ffh, jeunes, bain, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init, portrait, historique, historiqu,

    ... prirent une teinte d’acier. — Non. Pas quelques prières. Gwion détourna le regard et vit la belle Ceridwen déposer sur la berge son dernier vêtement. Elle entra lentement dans l’eau de la source, entièrement nue. Ce n’était pas la première fois qu’il voyait une femme nue, il n’était pas un novice en la matière, et même Ceridwen, il la connaissait. Mais elle releva ses longs cheveux et il lui sembla découvrir la longue courbe qui courait de sa nuque jusqu’à ses reins. Elle lui tournait le dos. Il fut prit d’une terrible frustration. Morgane ne parut pas remarquer son trouble. Elle poursuivait d’un ton égal : — Diane n’est pas une déesse pacifique, elle chasse, elle tue. Gwion déglutit. La journée était certes particulièrement chaude, mais il n’aurait jamais pensé qu’ici, à l’ombre des arbres, il se sente étouffer à ce point. Ceridwen avait de l’eau jusqu’aux hanches. Elle mouillait ses bras. Morgane dégrafa sa courte tunique et la retira. Dessous, elle portait une chemise de lin au tissu si fin qu’il était transparent. Les yeux de Gwion quittèrent les courbes de Ceridwen. — Diane arme le bras des guerriers et leur inspire sa fureur. Elle fit glisser la chemise par-dessus sa tête et déroula la longue bande de toile qui entourait ses seins ronds et charnus. — À quoi peut bien servir ton épée, Gwion, si tu ne désires pas frapper ? Morgane se moquait-elle de lui ? Il vit le triangle sombre, juste en haut des cuisses. Frapper ? Oh non, certainement pas, mais la prendre, là, ...
    ... tout de suite, s’enfoncer en elle, il l’eût fait sans hésiter si la soudaine crainte de commettre un sacrilège ne l’avait envahi. Diane avait cruellement châtié Cernunnos pour moins que ça. Morgane plongea à son tour dans la source. Il s’agissait d’accomplir la purification obligatoire avant le rituel qui commencerait dans la soirée et se poursuivrait toute la nuit. Goûter la fraîcheur de l’eau se révéla particulièrement délicieux. En cet été brûlant, les occasions de respirer se faisaient rares, aussi Morgane prit-elle son temps pour savourer ce moment de délassement, où le corps et l’esprit se dépouillaient de tout ce qui les encombrait inutilement. Gwion aussi prit son temps pour contempler les deux corps qui glissaient dans les eaux limpides; formes claires aux lignes brouillées et constamment mouvantes; de temps à autre affleurait à la surface le galbe d’un mollet, celui d’une cuisse ou l’arrondi d’une fesse. Les deux naïades invitèrent le jeune homme à les imiter : la purification concernait tout autant le guerrier qui veillerait sur elles cette nuit. S’ils furent tous trois un peu troublés, lorsqu’il acheva à son tour de se dénuder et laissa voir une franche érection, ils n’en dirent rien, et Gwion glissa dans l’eau froide à la hâte. — Il faut bouger, lui dit Ceridwen, sinon tu vas geler, ce serait dommage en cette saison.— Vraiment ? Par jeu, il éclaboussa la longue jeune femme qui lui rendit la pareille en riant. Tandis qu’ils s’amusaient, Morgane réfléchissait aux ...
«12...567...»