1. Le café de ma rue (1)


    Datte: 21/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... avant de commencer. J’avais le trac. Je me suis éclairci la voix, puis j’ai commencé. — « Cachée derrière la porte, la grande et jolie blonde épiait sa collègue se changeant dans les vestiaires. Impossible de résister à l’envie de glisser sa main dans sa culotte en voyant cette paire de seins qui lui donnait tant envie depuis des semaines. » — Vous fantasmez sur nous deux ensemble ? m’a demandé Sophie. — Eh bien, c’est un fantasme assez commun, je dois dire... et, vous êtes toutes les deux très jolies, alors toutes les deux ensemble... oui, j’avoue, je... — Attends Sophie, a coupé Laure, laisse-le continuer. — « Ses doigts glissèrent contre son sexe humide de désir, à la rencontre de son clitoris déjà bien excité. Dans le vestiaire, la petite brune laissa son string glisser le long de ses gracieuses jambes sans savoir qu’elle était espionnée. » — C’est bien écrit, a dit Laure. — C’est surtout intimidant de vous lire ça comme ça. — Oh bah non, faut pas ! s’est exclamée Sophie. Attendez, on va se mettre là-bas, on sera plus à l’aise pour vous écouter. Les filles se sont levées pour aller s’assoir sur une large banquette, à la table derrière nous. J’ai rassemblé mes papiers et les ai rejointes, un peu fébrile. — Vous en avez peut-être entendu assez, non ? ai-je demandé. Je peux vous laisser lire la suite si vous voulez... — Non, a répondu Laure, c’est mieux quand c’est vous qui le lisez. — C’est-à-dire que c’est un peu long, et... — Passez au vif du sujet alors, a renchéri ...
    ... Sophie. Elles finissent par coucher ensemble ? — Euh, oui, oui, en effet. — Allez directement à cette partie alors. J’ai fouillé un instant dans mes papiers, puis je me suis remis à lire. — « Allongées sur le matelas du petit appartement, les deux filles étaient entièrement nues, corps contre corps, bouche contre bouche, toison blonde contre toison brune. Les langues se mêlaient, les doigts s’égaraient, les sexes coulaient. » J’avais captivé mon auditoire. Les deux filles me regardaient avec un air plus qu’intéressé, et avec cette lueur dans les yeux qui trompe rarement. Le récit leur plaisait. Enorgueilli par ce succès, j’ai continué ma lecture. — « La jolie brune se laissa couler contre le corps de sa collègue et amie, embrassant chaque centimètre de sa peau, jusqu’à se laisser emprisonner par ses jambes au teint hâlé. Sans plus attendre, elle posa sa bouche sur ce sexe ruisselant et se... » — Bien ! a coupé Sophie. Je... Je crois qu’on a bien saisi le sujet. — Oui, a continué Laure, on pourra peut-être lire la suite plus tard si ça ne vous dérange pas... — Pas du tout, ai-je répondu soulagé. — En attendant, a-t-elle continué, je crois que nous aurions quelques suggestions à vous faire. Disons plutôt, des remarques, pour être au plus proche de la réalité. Ça ne vous dérange pas ? — Eh bien, non, pas du tout ! Je vous écoute. — Tout d’abord, a commencé Sophie, Laure ne porte jamais de culotte et elle est épilée intégralement. — Et Sophie a les tétons percés. J’ai réagi à cette ...
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