1. Le café de ma rue (1)


    Datte: 21/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... retrouvée avec pour seul vêtement un tanga en dentelle noire, aussi sexy que transparent. J’avais, depuis longtemps, lâché mon stylo, et luttais intérieurement pour ne pas glisser ma main dans mon jean. Mon sexe bandait à m’en faire mal ! Puis ça a été au tour de Laure de perdre son pantalon. Le jean était moins serré, ça a été plus simple, mais beaucoup plus compliqué pour moi de retenir mes ardeurs. Encore une fois, les faits étaient vérifiés : Laure ne portait aucun sous-vêtement, et son sexe était aussi lisse que la peau d’un nouveau-né. Comment ne pas défaillir à la vue de ces deux lèvres charnues, alléchantes, où le doigt de Sophie s’aventurait déjà ? — Les filles, ai-je bredouillé, je... est-ce que... — Oui, a répondu Sophie, vas-y, mettez-vous à l’aise... Je n’ai pas attendu une seconde de plus. J’ai défait ma ceinture en quatrième vitesse, et j’ai plongé ma main dans mon boxer pour commencer une lente masturbation. — Ne faites pas le timide, m’a lancé Laure. Faites voir... ybyttmv J’étais un peu gêné. Je ne sais pas pourquoi je pensais à ça, à cet instant précis, mais je me demandais comment j’allais faire pour revenir dans ce même café dès le lendemain. Mais je me suis lancé, et j’ai sorti mon sexe de mon sous-vêtement. Laure s’est penchée au-dessus de la table qui nous séparait pour en apercevoir un peu plus, et s’est mise à sourire en voyant mon membre dur et veineux entre mes doigts. Quand j’ai vu sa bouche s’ouvrir, ses yeux se fermer, j’ai compris que derrière ...
    ... elle, Sophie était en train de jouer avec son sexe. Je ne voyais rien, si ce n’est leurs deux visages, mais j’entendais Laure gémir, et j’entendais le clapotis des doigts de Sophie entre les cuisses de son amie. Puis ça s’est arrêté, et j’ai imaginé que Sophie avait retiré ses doigts. Un peu essoufflée, Laure a de nouveau jeté un coup d’œil à mon sexe, d’où perlait une goutte de liquide séminal. Un grand sourire aux lèvres, elle a posé le bout de son doigt sur le bout de mon gland, puis le bout de son doigt sur le bout de sa langue. — On est ouvertes à plus que l’amour entre femmes, a-t-elle justifié. On aime tous les sexes, tous les plaisirs, tous les... Elle n’a pas fini sa phrase, trop occupée à gémir lorsque Sophie a fait disparaître son visage entre ses cuisses. Laure s’est laissée glisser contre la table, laissant à la fois Sophie profiter de son entrejambe, et se faufilant entre les miennes par la même occasion. Elle a lentement posé ses doigts fins à la base de mon sexe, puis m’a regardé, essayant d’avoir mon approbation. Bien sûr qu’elle l’avait, et je le lui ai fait comprendre en m’avançant légèrement vers elle. Laure a sauté sur l’occasion, et a ouvert la bouche pour gober mon gland. Je n’ai pu réprimer un grognement de plaisir. Non, de pure extase. C’était irréel. C’était tellement bon que je devais lutter pour ne pas me laisser aller trop vite dans cette bouche si chaude et si gourmande. Les yeux fermés, adossé à la banquette de mon café préféré, je sentais Laure ...
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