1. Nadine, la vengeance d'une maman (11)


    Datte: 23/10/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    Maman remonte, elle se contorsionne. Quand mon visage est à hauteur du sien, elle le prend dans ses mains. Elle m’embrasse. Ses lèvres sont salées, sa langue poisseuse ; sa bouche a le gout de mon sperme. C’est la première fois que nous nous embrassons vraiment, comme deux amants. Je m’y attendais si peu que j’en ai les larmes aux yeux. — Pourquoi pleures-tu, mon chéri ? Oh mon Dieu, c’est à cause de moi, n’est-ce pas ? Je suis tellement désolée, si tu savais ! Mais elle fait fausse route, elle se méprend sur les raisons de ma vive émotion. Ce baiser est la confirmation qui scelle notre union. Nous avons franchi un cap, une étape cruciale dans notre relation. Mes larmes sont des larmes de joie… Mes mains courent sur ses hanches, s’égarent sur ses fesses. Je la touche. Elle me caresse le ventre, me lèche les lèvres avec dévotion. Comme il fallait s’y attendre, je bande. — Bon-sang, Maxime… comment est-ce possible ? Comment peux-tu être encore excité ? Tu es incroyable, mon fils ! Elle referme ses doigts autour de ma queue, tire sur la peau du prépuce, libère le gland. Elle me décalotte et commence à me branler doucement, en me regardant tendrement. J’empaume sa motte et elle ouvre tout de suite les cuisses en grand, pour que je la masturbe moi aussi. Ses yeux trahissent un sentiment d’irréalité, comme si nos mains ne nous appartenaient plus, comme si elles étaient devenues autonomes. Elle me regarde, avec une expression qui m’indique qu’elle n’arrive pas à croire elle-même à ...
    ... ce que nous faisons. Je vrille deux doigts dans sa chatte, entame un lent va-et-vient. Son vagin est si élastique, tellement profond que je pourrais y enfoncer la main. Maman se raidit, sa respiration s’accélère et la mienne aussi… Rassasiés, nous nous allongeons avant de nous endormir dans les bras l’un de l’autre… Quand je me réveille, j’ai l’impression que j’émerge d’un songe prégnant, alors que j’ai à peine somnolé. Je m’assieds dans mon lit, cligne des yeux, un peu désorienté. J’éprouve une sorte de béatitude, le genre de sentiment de plénitude propre à tout homme qui constate que la femme qu’il désire partage encore la couche. Pour me convaincre que je ne rêve pas, je me pince les joues. Il s’agit bien de ma mère qui repose sur le dos, telle une belle au bois dormant délurée, une princesse déchue à moitié nue. Je rampe avec précaution sur le matelas, me déplace aussi silencieux qu’un chat. Je m’installe le visage entre ses cuisses, et j’observe sa chatte avec une attention passionnée. Je ressens la même excitation malsaine que quand je venais la voir dans sa chambre la nuit, pour la regarder à son insu. Mon cœur bat si fort que je l’entends résonner dans mes tempes. Comme Maman a les cuisses écartées, je vois tout : la fente entrouverte sous les poils, les lèvres humides, le repli rose des muqueuses à l’intérieur ; je vois absolument tout ! Dans ces conditions, n’importe quel sexe de femme ferait l’affaire et suffirait à mon bonheur. Mais c’est de la vulve de ma mère ...
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