Nadine, la vengeance d'une maman (11)
Datte: 23/10/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... dont il s’agit, le lieu sacré dont je suis issu ! Et c’est ce qui fait toute la différence, la raison pour laquelle je suis aussi perturbé. « Je viens de là… je suis sorti par ce trou… oh putain ! Je suis pétrifié sur place, ébahi par ma promiscuité avec son intimité. Je m’approche plus prés. Ses poils me chatouillent le bout du nez. Je la renifle. Elle a une bonne odeur de femelle disponible. C’est ma mère ! J’ouvre la bouche. Je tire la langue. Je lèche comme un gros chien vicieux la large fente offerte, fouille en lapant la chair gluante au gout de viande crue. Oh Mon Dieu, c’est vraiment délicieux ! Maman se réveille. Affolée, elle comprend aussitôt de quoi il s’agit. Elle plaque instinctivement ses deux mains sur son sexe, pour se protéger de cet assaut. — Non, Maxime, pas ça… je t’en supplie, ne fais pas ça ! Elle n’a pas le ton qu’elle affectionne et qu’elle utilise parfois par jeu vicieux ; elle panique vraiment. On dirait qu’elle refuse pour de bon, alors je n’insiste pas et j’arrête de la lécher. Je remonte d’entre ses cuisses et lui grimpe dessus, me débarrasse de sa nuisette au passage, pour qu’elle soit nue sous moi. Ventre sous ventre. Chair sous chair. J’essaye de la pénétrer, mais je suis tellement impatient que je ne trouve pas l’entrée. Je m’acharne sans succès. Elle vient à mon secours, me guide d’une main jusqu’à ce que mon gland ouvre sa chair, que ma queue glisse au fond de son vagin. Je m’installe, me trémousse pour trouver la meilleure position et je ...
... la pilonne à grands coups de reins furieux. Elle remonte les genoux, écarte les cuisses, s’ouvre. — Bon-sang, Maxime, tu n’es pas raisonnable, mon fils ! Tu ne devrais pas faire ça ! Ce n’est pas bien… c’est très mal, enfin ! Elle a repris son ton crapuleux qui me rend fou. Elle réfute ma conduite, mais je sais maintenant quand elle fait semblant ou pas. Elle chuchote à mon oreille, se plaint de sa voix basse aux inflexions capricieuses. J’adore quand elle minaude de cette façon, quand elle me dit qu’elle est ma mère et que ce que nous faisons est déplacé, alors qu’elle est la première à ne pas y croire. Je suis aux anges quand elle me fait de faux reproches plus vrais que nature. Elle joue le jeu à la perfection. Quelle salope ! Mais quelle salope ! Je m’enfonce dans sa chair ouverte, dans les muqueuses brulantes. Comme j’ai déjà joui deux fois, je suis capable de me retenir longtemps ; j’en profite pour me concentrer sur son plaisir à elle. Chaque fois qu’elle approche de l’orgasme, elle me griffe les épaules, me laboure le dos, se démène sous moi pour mieux m’engloutir, et elle pousse son fameux cri qui m’indique qu’elle vient de jouir. Mais comme je suis encore dur, je ne m’arrête pas, je continue ; je la pénètre avec une cadence de métronome. Alors elle repart de plus belle. Elle bouge, remue, s’ouvre pour mieux m’accueillir. Elle pousse des petits gémissements d’encouragement qui décuplent ma volonté de la combler, et je continue à la saccager. J’éprouve un sentiment de ...