Nadine, la vengeance d'une maman (11)
Datte: 23/10/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... je vais faire de toi ? En dépit de ce qui se passe entre nous, elle change d’attitude à la demande, avec un aplomb stupéfiant. Alors qu’elle me suce la queue tous les jours, elle est encore capable de se comporter comme une vraie maman, une mère qui s’inquiète de l’avenir de son rejeton. Elle passe d’un personnage à l’autre en claquant des doigts. Je suis sidéré par sa duplicité. Agenouillé à ses pieds, j’attrape son talon dans la paume de ma main. Je lui peins les ongles un par un, avec une prudence excessive qui la fait rire aux éclats. Elle a de jolis pieds délicats, des chevilles fines, les mollets épilés… Le soir même, je lui offre une réplique des célèbres sandales d’un chausseur reconnu (je n’ai pas les moyens de lui payer les originales, à 700€ !), en cuir noir et doré, avec bout ouvert, fermeture à nouer et talons aiguilles de quinze centimètres. — Mon Dieu, mon chéri, mais tu es fou ! Elles sont ra - vi - ssantes ! Mais je n’ai jamais porté des chaussures pareilles… je ne tiendrais jamais en équilibre là dessus ! s’exclame-t-elle en battant des mains comme une fillette survoltée. Est-il nécessaire que je lui explique que c’est justement le but recherché : je ne veux pas qu’elle reste stable une fois chaussée. Il faut imaginer ma mère, avec cette paire de chaussures aux pieds. ...
... J’en ai le souffle coupé. Chaque fois qu’elle pose un pied devant l’autre, sa chair tremble, ses formes sont secouées. Même quand sa démarche se fait plus assurée, elle ondule, dans un déhanchement lascif accentué par la cambrure provoquée par les talons démesurés. — Alors, sale petit vicieux, qu’en dis-tu ? Ça le fait, hein… je te plais comme ça, pas vrai ? Tu me trouves à ton gout, n’est-ce pas ? Elle me regarde avec malice, me fait un clin d’œil complice. — Putain, Maman, qu’est-ce que tu es belle, c’est incroyable comme tu es canon… je ne te quitterai jamais… je resterai toujours avec toi… Chaque fois que je manifeste avec une ferveur excessive l’amour tordu que je lui voue, elle paraît surprise, déstabilisée. Elle est contrariée, une ombre voile son regard, mais elle se reprend vite. Elle s’approche, me chuchote à l’oreille de sa voix crapuleuse qui me donne la chair de poule. — Merci, mon chéri…tu es un gentil garçon, tu sais… vraiment très gentil quand tu veux… mais tu es vilain aussi des fois… très vilain avec ta maman… Elle s’accroupit sur ses échasses, les jambes amplement écartées. Elle perd l’équilibre mais se rétablit in-extremis en faisant des moulinets et en gloussant. Elle baisse mon slip, attrape ma queue entre ses doigts. Elle pouffe comme une écervelée. Elle ouvre la bouche…