1. Nadine, la vengeance d'une maman (11)


    Datte: 23/10/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... triomphe, une immense fierté. J’éjacule enfin. Je sanglote de soulagement. Je lui mords l’épaule jusqu’au sang. Je reste longtemps avachi sur elle, le visage dans son cou. Nous baignons dans nos sueurs, dans nos jus mélangés. — Oh Maman, c’était merveilleux ! Tu as aimé, pas vrai… tu as pris ton pied, toi aussi, non ? Qu’est-ce que ça me plait de faire des cochonneries avec toi ! Dis-moi que nous recommencerons, que nous n’arrêterons jamais… Elle est hagarde, en nage, les yeux révulsés. Elle tremble de la tête aux pieds. Elle me sert dans ses bras, envoie ses jambes autour de mes reins. — Oh, Maxime, mon chéri, mon fils adoré ! C’est de la folie… ce que nous faisons est insensé… tu vas me rendre folle, tu sais… Avec ma mère, nous avons retrouvé notre complicité d’antan, à ceci près que nos rapports ne sont plus aussi innocents que par le passé, lorsqu’elle n’était pour moi qu’une Maman. Elle a posé deux semaines d’arrêt maladie de plus. La journée, quand je suis au lycée, elle efface Papa avec une froide détermination, une rage maitrisée. Elle le raye de notre vie, de notre appartement ; elle supprime les traces, les vestiges de notre passé. Elle transforme notre univers familial en un lieu qui n’appartient qu’à nous deux. nzrnvvbp Après, elle prépare le diner, et elle attend sagement mon retour. Quand je rentre, il suffit que je m’approche, que je la frôle, que mes mains se fassent baladeuses. Une simple étincelle suffit à l’embraser, pourtant nous préférons rester ...
    ... patients, nous avons le temps. Nous mangeons, plus tard nous regardons la télé. Nous nous excitons mutuellement à distance, à l’aide de stimulus qui nous sont propres, d’attitudes équivoques qui font monter la pression. Quand nous sommes chauffés à blanc, nous regagnons sa chambre où je la baise toute la nuit. C’est un rituel bien rodé qui nous occupe à plein temps. Nous apprenons à nous connaître, de plus en plus intimement maintenant… Un matin, je ne retourne pas au lycée, je reste à la maison avec Maman. Je ne la quitte pas d’une semelle, lui trotte derrière, la tripote sans arrêt. — Du balai Maxime… fiche-moi un peu la paix… qu’est-ce que tu peux être collant, bon-sang … laisse-moi un peu respirer ! Elle me repousse, avec les mêmes gestes impatients que si j’étais un insecte nuisible qui lui faisait perdre son temps. Excédée, elle sort se réfugier sur la terrasse. Elle s’allonge dans la chaise longue, allume une cigarette, déploie ses jambes en aspirant une longue bouffée. — Oh, Maman, regarde un peu tes ongles ! Tu as vu comme ils sont abimés ? Ils sont tout écaillés ! Et si je te mettais du verni… tu veux bien ? — Voyons, Maxime, qu’est qui te prend ? C’est quoi encore, cette nouveauté ? — Allez, Maman, sois gentille… je ferai attention… — Seigneur, Maxime, qu’est-ce que tu a encore inventé ? Tu es vraiment tordu, mon garçon ! — S’il te plait, Maman, je ne déborderai pas… c’est promis ! — Tu es impossible… tu es gâté-pourri, mon fils ! Je ne sais pas te dire non… qu’est-ce que ...