1. La photographie


    Datte: 26/10/2018, Catégories: fhh, inconnu, photofilm, intermast, Oral ecriv_f,

    ... sa fesse contre la mienne. Nous regardons la photo ensemble. Je suis paralysée, plus béate encore je répète :— Ah ! Il se lève tranquillement et reprend sa marche décontractée de long en large devant mes yeux écarquillés. Il a une odeur de mystère, une démarche souple, une attitude rassurante. J’ai l’étrange sensation de le vouloir encore contre moi pour qu’il touche mon corps et m’enveloppe de sa chaleur. Ben la cocotte, elle s’évapore à la moindre approche. Il s’éloigne paisiblement… prend de temps à autre sa coupe, avale une gorgée, humecte ses lèvres, repose précisément le verre au hasard. Il revient……. Hou la…… m’explique qu’il est artiste-peintre, qu’il apprécie les belles choses et aime à représenter ce monde magnifique qui nous est donné. Puis il se dirige vers la fenêtre, et inquisitrice, j’ai tout le loisir de visiter son corps et d’examiner ses bosses en dessinant avec avidité ses contours du regard. Son ventre est un peu arrondi … hum c’est bien quand on est au-dessus… Lulu … arrête de penser des choses pareilles ! Ce n’est pas le moment….. Une sonate berce les silences et la langueur de ce ballet palpitant et ininterrompu. J’ai pris le rythme. Oh et puis non… Ah, non non non… Non, non… ça ne va pas se passer comme ça …. Comme réveillée de ma stupeur, je me dresse subitement et me jette sur l’homme pour lui arracher la photo des mains. Mais celui-ci lève les bras subitement. — Rendez-moi cette photo, je vocifère haletante, trébuche et me retrouve les seins ...
    ... plaqués contre ses larges pectoraux d’acier… Ben voyons ! Lui, les bras toujours en l’air, sourit surpris et rétorque : — Vous né croyez tout dé même pas qué jé vais vous lé rendre, mia pétite Loucie !— Et en plus vous connaissez mon prénom, je ne suis pas « votre petite Lucie », rendez-moi ça ! Tout en redoublant mes petits coups de poing sur sa large poitrine. Je le pince, il me griffe, je le griffe, il me pince et dans l’empoignade, ma jupe à taille élastiquée est tombée de travers et laisse déborder une poignée d’amour jusqu’à l’arrondi d’une fesse, abandonnant ainsi aux regards curieux de mon opposant, une fine dentelle rouge cintrée sur les hanches. Il siffle d’admiration et plus furieuse encore, je m’exclame : — Je vais vous montrer que c’est pas beau de se rincer l’œil, mon vieux ! Et redouble la mêlée. Echevelée maintenant, il me couche sur la moquette blanche et tous les boutons de mon chemisier trop serré sautent et laissent jaillir hors de la compression, mes seins gonflés dans un soutien-gorge à balconnet. A califourchon sur mon corps, son sexe dur contre mon sexe, il maintient mes poignets contre le velours de la moquette et embrasse avidement la crudité de mon décolleté. Je n’arrive plus à combattre tant il lèche, aspire et baise mon cou, mes épaules. Je n’ai plus de force pour lutter, j’aimerai bien encore le défier mais mes muscles ne peuvent plus, le plaisir me saisit sournoisement et je m’abandonne à ma destinée. Il relâche la jouxte. — Hum tou sens lé même ...