1. La photographie


    Datte: 26/10/2018, Catégories: fhh, inconnu, photofilm, intermast, Oral ecriv_f,

    ... parfoumado qué tou lettre… dit il avec ironie tout en glissant ses mains veloutées sous ma jupe. Il retire mes bas en les laissant rouler le long de mes cuisses, jusqu’au bord de mes bottes. Puis il effleure lentement ses mains sur ma peau pour remonter vers les secrets intimes et glisser ma soie. Puis, il retire le tout, un par un, prenant tout son temps et fredonnant l’air égrené par le disque. J’aurais voulu qu’il s’attarde dans le territoire humide, désormais nu sous ma jupe….. ça chauffe, euh non ça mouille, oh ça brûle. Il masse mon ventre un peu charnu, aspire le bout de mes seins qu’il a délogés hors de leur emprise. L’envoûtement gagne et j’entreprends de le déshabiller et déboutonne fébrilement sa chemise. Je ne contrôle rien. Il est passé maître. J’arrache presque sa ceinture et la braguette de son pantalon. Il est nu. Comme pour prendre ma revanche, je profite de son inattention pour lui rouler dessus, je saute sur son pénis et presse maintenant son sexe dans ma bouche tandis que ses caresses glissent sur mes fesses. Mon triangle dégoulinant contre sa bouche appelle sa puissance et il passe la langue dans la fente agrandie. Puis, il trouve mon petit bouton d’or et le mange goulûment. J’avale plus profondément sa verge et je crois que je vais mourir. Je masse délicatement ses bijoux d’amour. Il est à moi. Un doigt expert puis deux creusent un puits profond. Un liquide chaud s’épand dans ma bouche et une chaleur sucrée enflamme mon corps. Je gémis en buvant ...
    ... l’élixir de la vie. Après quelques minutes, de détente, il se lève nu et m’offre un nouveau verre et annonce : — Bon cé n’est pas le tout mais on va sé mettre au boulot maintenant. On va lé peindre cé pétite cul non ? José, oui, c’est le nom de mon inconnu, (et se prononce Rrrossé) s’aperçoit de mon hésitation et m’installe sur un tapis épais devant l’âtre, il pose une bûche et puis deux, le feu redouble de crépitement. L’artiste espagnol, habitué, a gentiment préparé des coussins pour reposer mes genoux et mes coudes et je m’enroule comme le fœtus dans le ventre de sa mère, en boule, le dos rond, la tête dans les bras, mon postérieur poliment posé au premier plan. Une chatte en chaleur. Mon peintre s’installe, nu, sur un tabouret bas, devant son chevalet et commence le travail. Une dizaine de minutes plus tard, il se lève silencieusement comme pour voir plus près un détail et me caresse doucement. Je sens le pinceau humide étaler sa pâte épaisse sur la face intérieure gauche de ma fesse droite, puis tracer un cercle tout autour de mes deux pétales de rose. Un puits dans un puits, une abîme pour se perdre dans le plaisir. La peinture sèche et me chatouille. Appuyée sur mes coudes, je vois à l’envers ses parties érigées en contre plongée, et surprends dans un angle, entre mes cuisses, une silhouette nue aussi. Il me recouvre de tout son corps puis agrippe mes hanches avec son avant-bras serré contre mon ventre et appuie son sexe contre mon anus. Il palpe mes seins suspendus. ...