1. Les moulins de mon coeur


    Datte: 04/11/2018, Catégories: ff, extracon, Collègues / Travail caférestau, amour, jalousie, Masturbation Oral 69, amourdura,

    ... forcer à faciliter un peu plus l’accès à mon intimité. Ceci fait, elle commence à me masturber avec tout l’art dont elle est capable. Sa main libre, glissée, elle aussi, sous l’éponge épaisse, me caresse les fesses tout en maintenant mon corps serré contre le sien qui ondule lascivement. — Attend ma belle, tu vas voir ce que tu vas voir ! dit-elle. J’ai de plus en plus de mal à rester impassible. Je mêle mes doigts à ses cheveux pour y mettre un semblant d’ordre, les replaçant, dégageant ses oreilles et sa nuque. — Ça y est ; tu réagis enfin ! Elle me débarrasse de mon peignoir et elle nous fait basculer sur le lit. Nous-nous embrassons fougueusement avant qu’elle poursuive : — Dis donc, tu ne m’as jamais fait ce coup-là.— Non, c’est vrai. Elle se glisse vers mon bas-ventre en donnant des coups de langues un peu partout sur mon corps ; s’attardant un petit moment sur mon nombril. Sa bouche parvient à hauteur de mon sexe. Ma position, allongée sur le dos mais les pieds presque au sol, est peu confortable car je suis très cambrée. Elle relève mes jambes et les tient ainsi repliées et écartées. Elle s’installe à genoux au pied du lit s’arrangeant pour pouvoir tenir commodément la posture. Je connais ses habitudes. Son intention est de me faire un long, très long, cunnilingus. Je cherche un oreiller derrière ma tête et le place sous ma nuque de façon à pouvoir la regarder. Sa succion de mon sexe ; puissante ou légère, les mouvements de sa langue, larges ou précis, rapides ou ...
    ... lents, les bruits de sa bouche, sonores ou discrets durent de longues minutes. Elle place mes pieds sur ses épaules. Ses mains libérées me caressent principalement les seins mais aussi le ventre et l’intérieur des avant-bras. Mes doigts jouent avec ses cheveux et titillent l’arrière de ses oreilles ; je sais qu’elle aime ça. Nos yeux ne se quittent que rarement et c’est ainsi que l’orgasme monte en moi. Profond et long, me faisant gémir et onduler d’une façon impudique que je ne cherche pas à maîtriser. Je l’attire vers moi et nous nous embrassons. — Alors, tu n’es pas tant blasée que ça ! J’ai fini par t’avoir !— Oui… tu as gagné. Que veux-tu comme récompense ? Un éclair de joie et de désir traverse son regard. Elle rampe vers le haut du lit. Toujours à plat ventre, elle étreint le traversin et le deuxième oreiller ce qui surélève le haut de son corps. Elle ramène ses jambes sous elle et écarte largement les genoux offrant ainsi à ma vue l’intégralité de son intimité. Je sais ce qu’elle attend dans cette position. Je lui caresse le dos, les fesses, l’intérieur des cuisses, la raie. Mes mains descendent jusqu’à ses pieds avant de remonter jusqu’à sa nuque sans faire plus qu’effleurer ses zones les plus sensibles. J’ai toujours été admirative du soyeux de sa peau blanche. L’espace d’un instant, je me dis que c’est la dernière fois que nous faisons l’amour. — Tu es terrible, tu recommences à me faire languir, dit-elle.— Oui… mais ne t’inquiète pas, je vais te le faire. Mes gestes ...
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