Ah...les dames bien mûres ! partie 4/4
Datte: 07/11/2018,
Catégories:
Hardcore,
Masturbation
Mature,
LU SUR LE NETLe lendemain, je n’y tenais plus: après avoir vu et entendu le délire érotique de ma vieille voisine, il me fallait absolument la baiser. J’attendis de voir qu’elle était levée et l’appelai: — Bonjour Marthe, comme c’était merveilleux, ce que vous m’avez offert hier ! — Oh ! Jean-Luc, comme j’ai honte, j’ai eu un tel mal de m’endormir hier soir, je ne sais plus où me mettre ! — Non ! Ne dites pas cela, c’était merveilleux et vous le savez bien. Je viens chez vous ! — Jean-Luc, non ! Pas maintenant…je me lève, et vous aurez peur de voir en face de vous la vieille grand-mère que je suis ! — N’ayez crainte, ma douce amie, je vous veux, je veux venir à vous, vous baiser comme vous me l’avez demandé… — Non, pas tout de suite, je…un peu cavalièrement je le reconnais, je lui coupe la parole: — Préparez-vous, ma chérie, je viendrai vous voir à onze heures. D’ailleurs j’apporterai l’apéritif ! !Et je raccrochai sans lui laisser le temps de répondre. Je repris alors mon observation: elle était debout devant son lit, en chemise de nuit. Elle resta un petit moment pensive et immobile puis elle entra dans sa salle de bains, et se fit couler un bain. Malencontreusement la porte était à moitié fermée si bien que je ne vis rien de ce qu’elle faisait. Elle avait largement le temps de se préparer, car il n’était pas tout à fait neuf heures. Et moi, j’avais une petit course à faire pour l’apéritif en question…A onze heures précise, je pressai le bouton de sa sonnette, et j’entendis ...
... sa voix dans l’interphone : — Oui ? — C’est Jean-Luc, je vous apporte l’apéro ! — Oui…montez chuchota-t-elleEt j’entendis le déverrouillage électrique de la porte d’entrée. Sortant de l’ascenseur au dernier étage, je me trouvai face à deux portes. L’une d’elle s’entrouvrit et je vis le visage de ma chère voisine apparaître, un doigt sur ses lèvres. Je m’approchai et elle me fit entrer en refermant vite la porte dont elle tourna la clé sans faire de bruit. — Ma voisine Mme X. est curieuse comme une pie et cette mégère ne peut s’empêcher de surveiller les allées et venues de chacun dans cet immeuble… quelle peste !Je contemplai alors Marthe et j’en eus presque le souffle coupé: elle était très bien coiffée, d’une espèce de chignon enveloppant ses magnifiques cheveux blonds platine. Elle avait un petit tour de cou en velours noir au milieu duquel était fixé une pierre magnifique. Pour tout vêtement, elle portait une petite combinaison en satin noir par l’échancrure de laquelle je pouvais voir que ses seins étaient nus en dessous, puis des bas noirs et chaussée de souliers à talons aiguilles. Jamais on ne lui aurait donné ses 75 ans ! Je posai ma bouteille de champagne sur un petit guéridon et la pris alors dans mes bras. Elle se laissa envelopper et je posai ma bouche sur la sienne. Ma langue se fraya un chemin et rencontra sa langue. Ce fut alors un délire de baiser, et elle gémissait de bonheur. Mes mains descendirent contre son dos et flattèrent ses fesses charnues à travers ...