1. Ah...les dames bien mûres ! partie 4/4


    Datte: 07/11/2018, Catégories: Hardcore, Masturbation Mature,

    ... saisit la bite et la caresse à nouveau, la regardant avec envie. Je bande à moitié, ce qui rend sa caresse d’autant plus divine. Je la fais boire le champagne au goulot, et c’est vraiment très sulfureux de voir cette belle dame, quasi nue car elle a enlevé sa combinaison et ses chaussures, mais gardant ses bas noirs, boire à la bouteille ainsi qu’une catin de bordel, ma queue toujours enserrée dans sa main. Je ne me gêne pas non plus de lui enfiler mes doigts dans la chatte, et un peu, mais une phalange seulement, dans son trou du cul élastique. Soudain me vient une idée : — Assied-toi contre la tête de ton lit et présente-moi bien ta chatte.Elle s’exécute, un peu interloquée : — Tu ne vas tout de même pas…J’approche le goulot de la bouteille et le lui introduis dans son vagin distendu jusqu’au bout de la collerette dorée. D’un mouvement rapide, je la relève, ma main passée sous ses fesses, ce qui a pour effet de faire pénétrer une large rasade de vin dans son trou. — Ahhhh…c’est froid…ça pique, c’est délicieusement piquant. Tu m’en as mis plein la chatte, petit cochon !Profitant qu’elle a le cul bien en l’air, je me glisse entre ses cuisses, et lorsqu’elle abaisse ses jambes sur mes épaules, ma bouche est déjà collée à sa fente dégoulinante, mes mains plaquant fermement ses hanches. J’aspire alors fortement le divin nectar qui s’écoule naturellement de son vagin, frais mélange pétillant de champagne, de ...
    ... cyprine et de sperme. C’est un délice merveilleux que j’avale à goulûment. J’en garde cependant une dernière lampée, et me relevant, je lui roule un patin en lui mettant dans la bouche le contenu liquide de la mienne qu’elle avale religieusement, les yeux fermés, son visage en extase. — C’est bon…c’est merveilleusement bon ! — On appelle cela le vin des anges, ma chérie.Et nous avons encore passé de longues heures dans ce lit, nous caressant, masturbant, baisant, suçant. Jamais je n’aurais pu croire, avant de la connaître sous cet angle que madame P. grande bourgeoise de notre ville serait à ce point ardente et sans pudeur, une fois son corps dévoilé. Je crois que c’est cet aspect des choses qui me la rendait encore plus excitante.C’est la fin de l’après-midi et nous sommes encore couchés dans son grand lit, rassasiés; La nuit tombe. Dehors, les luminaires d’éclairage public viennent de s’allumer. J’adore cette pénombre jaunâtre qui filtre à travers les voilages de sa fenêtre. Les formes de sa chambre s’enveloppent de mystère. Je la sens nue contre moi, n’ayant gardé pour tout vêtement que son petit tour de cou en velours noir: qu’elle est belle ainsi, alanguie et mélancolique; ma main caresse doucement ses beaux cheveux désordonnés et sur son visage radieux, ses yeux brillent dans la nuit — Oh ! toi, que ne me ferais-tu faire…je veux être ta maîtresse vicieuse, ta salope…je suis prête à tout pour toi…tu veux ? 
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