1. Ah...les dames bien mûres ! partie 4/4


    Datte: 07/11/2018, Catégories: Hardcore, Masturbation Mature,

    ... mon sperme qui fuse à grands jets visqueux. Elle en prend sur sa chatte, sur ses cuisses où de longues estafilades blanches tranchent sur le noir de ses bas, et même sur sa petite combinaison, jusqu’à son nichon maintenant complètement sorti du vêtement. Je m’agenouille alors et ma tête plonge dans sa fourche. Je la lèche, je bois son jus mélangé à mon foutre, je suce ses doigts qui entrent et ressortent de son trou, ma langue va-et-vient, de la lisière de ses bas à ses grosses fesses écartelées, je la rentre un peu dans son cul, comme une petite bite qui l’enculerait, et cela la fait encore plus se démener. De grandes ruades accompagnent alors une nouvelle jouissance qui l’emporte au septième ciel. Me relevant rapidement, je plonge alors ma queue à fond dans sa chatte, prenant ses deux jambes sur mes épaules. Marthe est bien calée dans son fauteuil, ce qui fait que je peux la bourrer complètement. Ma queue va, vient, ressort et replonge dans son volcan. Elle n’arrête pas de jouir et me crie une litanie de mots obscènes et d’amour mélangés. Elle crie qu’elle en veut encore…ma queue, ma trique raide…la baiser…encore, mon chéri, encore…profond…vas-y baise-moi, baise ta vieille cochonne, sens comme je suis ouverte, grande ouverte, je suis ton gouffre à jute, viens viens, gicle encore..je veux, j’en veux…Elle a passé une main sous elle, et entre ses fesses, elle remonte pour prendre mes couilles dures et gonflées à pleine main. — Vas-y, bourre, jute, vide tes grosses couilles ...
    ... en moi…ahhh..amour chéri, oh que je suis cochonne…mets-moi…encore, à fond !Alors, n’en pouvant plus, j’envoie encore de grandes giclées dans son vagin fumant, j’ai l’impression que son ventre me pompe, me vide le sexe comme si elle me suçait. Mon plaisir est infini et rarement j’ai joui aussi intensément. Je retombe sur elle et pose ma tête sur sa poitrine. Comme un bébé, je prends un de ses tétons en bouche et le suçote doucement. Il est dur et bandé, de la taille d’une olive, au centre d’une grosse aréole sombre. Elle serre ma tête contre elle. Je sens qu’elle raffole de cette caresse buccale. J’abaisse la bretelle de sa combinaison et ses gros seins un peu tombants apparaissent dans toute leur splendeur à quelques centimètres de mon visage. Je passe de l’un à l’autre et les mordille, ce qui la fait gémir. Je vois qu’elle à de nouveau passé la main sous sa combi et qu’elle s’active et se branle: — Tu me rends folle…je veux encore et encore me branler…je veux encore jouir.Ses jambes encore fort belles et bien gainées de noir s’élèvent, les talons pointus de ses chaussures tendus vers le plafond. Elle est obscène ainsi, et pourtant merveilleuse d’érotisme. — Viens, dit-elle, allons dans ma chambre.Je ne me le fais pas dire deux fois. Je me déshabille et je la suis, tout nu, ma bouteille de champ à la main. — Attends je vais chercher des coupes ! — Non, pas la peine, nous allons la boire en canailles, au goulot, tu verras c’est étonnantA peine assis dans son grand lit, elle me ...