1. Ah...les dames bien mûres ! partie 4/4


    Datte: 07/11/2018, Catégories: Hardcore, Masturbation Mature,

    ... le fin tissu que je remontai petit à petit. Je sentis enfin la peau soyeuse de ses fesses, puis de ses cuisses où j’allai jusqu’à la lisière de ses bas qu’elle portait sans porte-jarretelles. Je me rendis vite compte qu’elle ne portait pas de culottes, et je glissai mes doigts entre ses fesses, jusqu’à toucher son petit trou, puis m’insinuai dans ses lèvres intimes déjà trempées de ses sécrétions amoureuses. Elle gémissait de plus en plus, puis remonta sa cuisse contre la mienne, frottant sa chatte contre ma cuisse, finement protégée par le fin tissu de nos vêtements. Je triquais comme un fou, et elle le sentait bien. Ma queue était de marbre, et délicatement, elle descendit sa main entre nous deux pour la palper à travers mon pantalon. Mes doigts bien plantés en elle, j’en enfilai encore un brutalement dans son cul: je la sentis alors se crisper brusquement et fléchir les cuisses pour encore s’empaler un peu plus sur mes doigts : elle venait déjà de jouir ainsi, debout dans son vestibule. J’espère que les murs étaient bien insonorisés, car ses cris auraient pu ameuter sa chère voisine. Elle se détendit alors un peu et nous nous regardâmes : ses beaux yeux bleus aigue-marine étaient mouillés de larmes de bonheur… — Mon dieu, il y a si longtemps…Jean-Luc c’est tellement bon…je suis toute à vous, mais avant, asseyez-vous là.Elle me désigne un divan sur lequel je prends place, un peu interloqué, puis elle s’assied en face de moi, dans un large fauteuil, ses jambes sous elle, sa ...
    ... petite combinaison à mi-cuisses. — Je veux votre regard sur moi, j’ai peur de me mettre toute nue devant vous…regardez-moi…D’une main, elle abaisse un peu le haut de la combinaison et dénude la pointe d’un de ses seins qu’elle caresse doucement, puis l’autre main descend, s’insinue sous la combinaison et je vois ses cuisses légèrement s’écarter afin qu’elle puisse poursuivre sa progression: — Ah je suis folle…comme je suis trempée, je mouille pour vous, Jean-Luc; vous viendrez me prendre, me baiser, après…après…Sa voix devient un souffle : — Montre-moi ta queue…tu bandes hein ?Un peu surpris tout de même, je déboutonne mon pantalon et je l’abaisse à mi-cuisse, puis mon caleçon suit le même chemin. Je suis un peu étendu sur le divan, qu’elle puisse bien profiter d’une vue oblique et de profil sur ma trique raide comme un gourdin. Elle est déjà décalottée bien sûr et je la prends dans ma main, la branlant doucement. De l’autre main, j’empaume mes couilles et les presse légèrement, et les lui montre bien.Marthe passe alors une de ses jambes sur l’accoudoir de son fauteuil et écarte complètement ses cuisses bien en chair. Je vois alors sa chatte dans toute sa splendeur. De sa main, elle écarte les lèvres, frotte sa vulve, rentre et ressort de son vagin béant et baveux. Elle se tord, et ne perd pas une miette du spectacle que je lui offre aussi. — Je vais juter, Marthe, je vais gicler mon foutre, je n’en peux plus…je jouis…Je me lève et vais vers elle, entre ses cuisses et voilà ...