1. Journaliste, une carrière à part (1)


    Datte: 08/11/2018, Catégories: Hétéro

    ... tenues qui nous y attendaient. Le thème de la soirée «Copacabana» était d’une simplicité déroutante. Chaque fille se voyait attribuer un maillot de bain, modèle brésilien. En fait nous avions le choix entre des bikinis ficelles et des maillots une pièce très ajourés. Rien de très confortable. Mes deux compagnes m’avouèrent qu’elles avaient déjà participé à ce genre d’événement et fixèrent rapidement leur choix. Je fus plus longue, cherchant désespérément un maillot digne de ce nom. Il n’y en avait pas et je me résolus à enfiler, dans la cabine qui se trouvait là, un mono pièce vert pomme qui laissait un triangle de tissu sur chaque sein et un autre tout aussi minuscule sur le bas de mon ventre. Un éclat de lumière attira mon attention pendant que j’enfilais le machin. C’était caméra placée au plafond qui filmait à gogo ma séance de déshabillage. Je pris des escarpins assortis à la couleur de mon maillot et poussai la porte du vestaire. Je débouchai dans un immense salon au milieu duquel un podium de danse était installé. Toutes le filles présentes s’y trémoussaient déjà en petite tenue, sous un éclairage stroboscopique, tandis que la population mâle, invisible dans le noir, observait le spectacle. Des écrans géants, accrochés sur le pourtour de la salle, renvoyait des plans sélectionnés des danseuses. Je montais les quelques marches qui conduisaient à la scène et me fondit dans le groupe, passablement gênée. Je le fus encore plus quelques instants plus tard quand je vis ...
    ... diffuser sur les écrans, au son d’une musique techno, des images de moi, nue en train d’enfiler mon accoutrement. Vers onze heures, le maître des lieux remercia l’audience pour sa présence et nous invita à un buffet gargantuesque dressé dans la salle d’apparat. Celle-ci largement plus éclairée que la précédente offrit notre quasi nudité aux convives. Nous étions une vingtaine de filles pour environ cent personnes. A la différence que les invités étaient eux masqués, ce qui ne m’empêcha pas de reconnaître Jean Claude, caché derrière un loup noir. Certains des convives profitaient de la situation effleurant qui un sein, qui une fesse. Les agapes une fois terminées, la petite foule revint dans le salon. Une surprise nous y attendait. Une mousse dense recouvrait maintenant la scène sur une hauteur d’un mètre environ, dégoulinant lentement vers la salle en contrebas. Pour pouvoir monter à nouveau il fallut enlever le haut pour celles qui portaient un bikini ou dégager ses seins, pour celles qui avaient fait le choix d’un mono pièce. Je me résolus donc à faire glisser de côté les maigres triangles de tissus qui masquaient mes aréoles et reprit ma danse, inhibée au possible malgré les quelques verres d’alcool que j’avais ingurgités auparavant. Ce fut à peu près tout pour ce soir là. Ce que je compris plus tard, c’est que l’univers de Jean Claude Defer était constitué de cercles concentriques, à la manière d’une cible, dont je venais de franchir la partie la plus excentrique. Je m’étais ...