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Journaliste, une carrière à part (1)
Datte: 08/11/2018, Catégories: Hétéro
... faite piéger dans toile d’araignée de Jean Claude Defer. Il y eut d’autres soirées auxquelles je dus participer, toujours dans le grand chic et toujours prétexte à exhibition des filles qui y étaient invitées. Certaines disparurent, d’autres vinrent se mêler aux ébats. Je finis par faire partie des habituées. En même temps ma carrière suivait. J’étais maintenant rédactrice, en charge du journal du soir, sur la tranche 20-22 heures. Jean Claude connaissait toute la galaxie télévisuelle. Par ses contacts il pouvait faire ou défaire la carrière de pas mal de professionnels, dont la mienne. Jamais rien n’était dit et le personnage restait toujours aussi désagréable, mais je savais comme beaucoup d’autres que ma participation à ses frasques comptaient pour beaucoup dans mon avancement. lolxxgn Au bout de quelques mois, je fus introduite dans une sphère plus secrète du personnage. Jean Claude ne se contentait pas de ces soirées plus ou moins mondaines, il jouait aussi. Un soir, il me demanda de l’accompagner au cercle privé où il se rendait. Ce fut la première fois où je me retrouvais sa seule invitée. Je reçus à mon domicile la visite d’un coursier qui me livra, quelques heures avant le rendez-vous ma tenue pour la soirée. C’est sous un grand imperméable, qui cachait ma tenue de french maid, que je fis mon entrée en sa compagnie dans le ...
... fameux cercle. Une dizaine de joueurs de poker vieux et gras, réunis dans une salle enfumée, nous y attendaient. Chacun avait sa servante. Notre mission consistait essentiellement à rester debout derrière eux et à les ravitailler en breuvage lorsqu’ils venaient à en manquer, du moins au début de la soirée. La règle voulait en effet que lorsqu’un joueur perdait, l’assistance puisse profiter à sa guise de sa servante. Cela n’allait pas bien loin, effeuillage et quelques palpations. Jean Claude abattit un brelan de roi qui fut contré par un full aux sept par les deux. Je devins donc la proie de l’assistance. Un gros libanais entreprit méticuleusement de me débarrasser de mon accoutrement sous les yeux de l’assemblée qui jouissait du spectacle en silence. Une fois nue, il me prit par la main et me présenta à chacun des joueurs. Je dus subir leurs sales pattes sur l’ensemble de mon anatomie. Le plus lubrique d’entre eux posa sa main sur mon sexe et laissa aller son index contre mes grandes lèvres, dans un mouvement de va et vient sans équivoque. Jean Claude remercia ses partenaires, je renfilai à la hâte mes frusques et mon imper et le suivit jusque dans le taxi qui nous attendait. Comme à son habitude il ne décrocha pas un mot pendant le trajet qui nous ramenait à mon domicile. J’eus à peine droit à un bonsoir taciturne en quittant le véhicule.