Un jour à Paris
Datte: 08/11/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
hotel,
Oral
pénétratio,
fsodo,
tutu,
amourcach,
extraconj,
... semaines passées. On échange des sourires qui sont de moins en moins convenus. La chaleur revient en nous. Un peu plus loin, un parapet nous invite à faire une pause. Tu t’accoudes dessus, tout en continuant à parler de je ne sais plus quoi, mais ça n’a plus tellement d’importance. Je te rejoins, je m’appuie sur la pierre à ta droite. Mais sans le vouloir, je me suis peut-être un peu trop rapprochée de toi. Mon avant-bras frôle le tien. Par réflexe, je bafouille un « pardon » et m’apprête à m’écarter un peu. Par réflexe, ta main gauche vient retenir mon bras. On se regarde, on se sourit à peine, mais on sait que le mal est fait. Tu te penches légèrement, je me rapproche encore. Nos lèvres se touchent. D’abord timidement, puis en pilote automatique. Que c’est bon. Nous nous sommes retrouvés. Je m’assois sur le parapet, et me voici à ta hauteur. Tu viens te glisser, debout, entre mes jambes. Pas de souci, à cet endroit-là nous sommes très tranquilles, loin des touristes et des badauds. Personne ne s’offusquera. Tu passes tes mains autour de ma taille, les miennes viennent autour de ton cou. Nos bustes se collent et cette fois nous nous sentons bouillants. Bouche à bouche, langues qui s’emmêlent, baisers dans le cou, peaux qui frissonnent, mains qui se promènent d’abord timidement puis plus librement. Nos yeux qui se perdent les uns dans les autres, cette fois échange de sourires hilares et de tendresse infinie. Nous sommes ensemble, prêts à ne faire plus qu’un. Longues ...
... minutes de corps à corps. Mais quelque chose manque tout à coup. Pas assez d’épiderme disponible. Alors je descends du parapet et, sans rien se dire, main dans la main, nous partons à la recherche de notre but soudain, dans les rues voisines. On ne sait jamais. Un petit hôtel de rien, discret, tranquille. Juste quelques heures. On le trouve en peu de temps. Il fallait vraiment le voir. Petite entrée toute simple. Pile ce qu’il nous faut. Incroyable, on n’a même pas de gêne en entrant. Le petit monsieur, qui a dû en voir bien d’autres, n’est pas étonné. Tu échanges deux mots avec lui, précises : « jusqu’à 15 heures », il te donne une clé. Nous payons puis nous montons. À peine la porte fermée, tu me colles à elle. On a déjà lu ça quelque part. Cette fois les mains se font frénétiques. Tu ôtes mon chemisier, j’enlève ton sweat. Ton tee-shirt et mon soutien-gorge les rejoignent. Contacts électrisants. C’était ça qui nous manquait depuis tout ce temps. Ta bouche s’occupe très vite de mes seins, je ferme les yeux tant c’est bon. Mes doigts se perdent dans tes cheveux. J’ai très envie de tant de choses, mais plus que tout j’ai envie que tu diriges le cours des événements. Un peu après, je me sens pourtant frustrée de ne faire que subir. Alors, délicatement, je t’éloigne un peu et mes mains accèdent à ton pantalon. Tu souris. Je pose la main, là, et je sens déjà une bosse qui s’assume. J’ouvre le zip, je pose ma main. Réaction. Je te rassure, tu n’es pas trop vieux, semble-t-il. Ton ...