1. Un jour à Paris


    Datte: 08/11/2018, Catégories: fh, extracon, hotel, Oral pénétratio, fsodo, tutu, amourcach, extraconj,

    ... pantalon disparaît, puis rapidement plus aucun tissu ne reste. Tu me redresses pour ne pas te sentir seul dans cette situation. Tu m’aides à tout ôter à mon tour. On aurait pu prendre plus de temps mais il y a urgence. Alors on va sur le lit, juste à côté. On s’allonge, on se regarde d’abord sans rien faire, histoire de se dire : eh oui, on y est. Et on en meurt d’envie. À ce moment précis nous sommes seuls au monde. Je pose ma main sur ton sexe, qui tressaille et réagit. Alors je descends un peu, posant mes lèvres sur ton torse, ton ventre. Mes seins viennent caresser ton sexe. De tes mains, tu les enserres autour. J’adore cette vision et je reste comme ça un moment en faisant de tout petits va-et-vient, tu regardes aussi et tu ne sembles pas indifférent à ce spectacle. Puis ma bouche va se poser sur ton sexe. Un baiser, un autre. Puis ma langue. Je t’entends déjà soupirer d’aise. Tu poses ta main très légèrement sur mes cheveux, tu sais que j’aime ça, mais tu me laisses faire. Je pars à la découverte de cette partie de ton corps. Lentement mais sûrement, je te lèche, je te suce, je t’avale. Je prends mon temps. Tu ne sembles pas détester. Au bout de quelques minutes de ce traitement, tu me murmures, l’air presque surpris, que tu ne vas pas résister très longtemps ; histoire de me laisser le choix ? J’ai entendu, mais je ne bouge pas. Je continue. D’accord. Ma main droite vient caresser ton torse, te titiller. Alors ta main se fait plus pesante dans mes cheveux, tu commences ...
    ... à m’indiquer ton rythme. Je te suis. Ça dure, ça dure. Et puis tu soupires plus fort, encore plus fort. Te voilà. Je t’accueille au plus profond de ma gorge. Quel plaisir. Laisse-toi aller. Grand moment de bien-être. Quelques instants plus tard, je suis de nouveau allongée contre toi. Mes rondeurs, qui m’ennuient si souvent, ne semblent pas tant te déranger. Tes mains partent en promenade un peu partout. Baiser langoureux. Une main s’aventure, plus insistante, entre mes cuisses. Je les écarte. Tu sens à quel point je suis humide, inondée de désir. Là aussi, on pourrait prendre plus de temps, mais on en a tellement envie. Je vérifie que tu es de nouveau très en forme… Tes doigts entrent en moi, d’abord un, puis deux, puis trois. Tu constates que mes gémissements sont proportionnels au plaisir que tu me donnes. Quatre doigts en moi très profondément, le pouce qui excite le reste. Je ne suis pas loin de l’orgasme. Je te gémis que j’en ai envie, maintenant. Alors délicatement, tu me retournes, me voilà à quatre pattes. Les cheveux épars dans le dos. Sans tarder, tu te places derrière moi, tes mains sur mes hanches. Ton sexe arrive là, à l’entrée de mon sexe. Nous soupirons si fort. Tu entres en moi, lentement, doucement. Totalement. Tu es si loin. Tu m’emplis complètement. Va-et-vient délicat puis de plus en plus viril. Je me redresse et pose mes mains à plat sur le mur. Mes fesses sont en contact plus fort avec ton bassin, je me cambre au maximum. Tes mains quittent mes hanches ...