A la découverte d'un monde inconnu : le cahier d'histoires (1)
Datte: 09/11/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... l’hôtesse avec un clin d’œil complice. Je foudroie maman du regard. Nous passons en caisse. « Heureusement que ce n’est pas moi qui paye ! » Puis nous prenons congé de Marie avec l’échange de promesses de se revoir bientôt, de m’offrir un piercing et de passer à la maison. Chargées comme des mules, nous rangeons tout dans la voiture et rentrons à la maison. Manu nous accueille ; je constate que la table du séjour est remplie de livres de classe, de cahiers et de classeurs : visiblement, il a dû bosser comme un forcené. — Ça va, mon amour ? — Oui, mais j’ai la tête comme une pastèque ! Alice, s’il te plaît, il faudra que tu m’expliques un truc en math que je ne comprends pas. — Pas de souci ; quand tu veux. Maintenant ? — Non, je vais faire une pause. Julie, tu me montres ? — Tu as raison. Allez, Julie, tu réessaies tout cette fois qu’on se rende compte. — Maman ! Viens voir, s’il te plaît, j’ai un truc à te dire. Elle me rejoint dans la cuisine ; j’ai une idée, je la lui explique. Comme réponse, j’ai droit à un « T’es une sacrée coquine, toi ! » Je retourne au séjour ; maman m’accompagne. — Manu, installe-toi sur le canapé : je vais te faire un défilé de mode, et je peux te dire que tu n’es pas près de t’en remettre. Il s’installe en maxi tee-shirt, sans rien dessous, sur le canapé. Il ne me voit pas me changer. Je commence. Première tenue : la totale ! Sous-vêtements, collants noirs, minijupe, chemisier avec soutif, escarpins. Je défile telle un mannequin professionnel, ...
... vais, viens, tourne. Ensuite, c’est la même tenue mais sans soutif, puis sans collants. Maman fait les commentaires : « Ça, c’est bien. Comme ça, c’est mieux… Là, superbe ! » et ainsi de suite. À chaque passage j’observe Manu ; je constate qu’il commence à avoir la trique… Pas besoin de le toucher. Je jubile. Je continue. Au tour de la robe d’été à carreaux. Légère, elle se ferme devant avec des boutons-pressions. Je commence totalement boutonnée, puis le haut ouvert jusqu’au soutien-gorge en dentelle noire, et enfin le bas ouvert jusqu’au string. Une fois encore, je passe devant lui, sensuelle. Au moment où je suis face à lui, d’un coup sec toutes les pressions sautent. Je tourne sur moi-même, découvre le string et mes fesses, et d’un geste je fais voler la robe ; me voilà en petite tenue. Il bande comme un Turc. Je m’approche de lui, lui fais un baiser sur la bouche, les mains en appui sur ses cuisses. — Tu aimes ? — Tu es magnifique ! Elles sont très jolies, tes tenues... — Viens. Je le prends par la main, le fais asseoir sur une chaise, lui enlève son tee-shirt, lui prends les mains et les lui attache dans le dos au dossier de la chaise. Il est nu. J’en profite pour motiver l’engin un peu plus. — Mais… Qu’est ce que tu fais ? fopfeelr — T’inquiète pas, j’en ai encore une à te montrer ; et pour celle-là, je ne veux pas que tu me sautes dessus. Enfin, pas tout de suite… — À ce point ? Maman est sortie. J’enfile la dernière robe, celle qui a le décolleté dans le dos, j’enfile ...