Oui, je le veux... TON CUL ! (1)
Datte: 11/11/2018,
Catégories:
Trash,
... un gros cigare d’une boîte qui y était posée, délicate attention du Hilton. Je l’allumai et tirai une longue bouffée en fermant les yeux. Putain, ouais ! Je me laissai tomber sur un gros fauteuil style dix-septième siècle, et croisai les jambes en m’affalant contre le haut dossier, en continuant de tirer sur mon cigare. Les bruits du couloir me parvenaient : voix, pas précipités, etc… On s’agitait visiblement dans l’hôtel pour mon mariage. Une belle chiasse cette merde. Bien sûr, j’avais l’attention de tromper Celestina à tour de bras, mais mes rapports sexuels -si importants pour mon bien-être- allaient être encore plus difficiles à cacher qu’ils ne l’étaient déjà. Et si elle se mettait à vouloir des gosses ? Bordel, l’angoisse. Je n’étais pas prêt, mais surtout je n’avais aucune envie de fonder une famille. Encore moins sur des bases aussi fragiles qu’allaient l’être celles entre Celestina et moi. Je passai une main nerveuse dans mes cheveux gominés et coiffés en arrière. J’étais jeune, merde ! Trop jeune et gâté par la vie pour m’enfermer dès maintenant dans un mariage d’intérêt ! La preuve, il y avait tellement de chattes prêtes à m’accueillir ici dans l’hôtel. Je l’avais vu dans le regard des femmes que je croisais ce matin en arrivant au Hilton. J’étais désiré par elles, et certaines valaient vraiment le détour. Les demoiselles d’honneur par exemple. Je me mis à les imaginer en train de se déshabiller pour revêtir leurs robes moulantes couleur lila dans les ...
... vestiaires quelques étages plus bas, tout près de la salle de cérémonie… Les fourreaux étroits qu’elles enfilaient devaient épouser la moindre de leurs courbes aguicheuses, collant à leurs seins rebondis sans soutien-gorge et à leurs fesses fermes. Je baissai les yeux vers mon pantalon, pour découvrir sans surprise que je bandais comme un tôlard. Mon sexe en érection formait une énorme bosse entre mes jambes, et je posai la main dessus. Bordel, j’étais dur comme du bois à quelques dizaines de minutes de mon mariage, à fantasmer sur les belles salopes qui allaient y assister. J’avais beau être contre cette union, je n’allais quand même pas me présenter devant la foule avec une gaule pareille. Aussi, j’écrasai mon cigare dans le cendrier d’une main tandis que de l’autre, je dé-zippais ma braguette et sortais ma bite de mon pantalon devenu trop serré. Elle était déjà décalottée, et si gonflée que je pouvais aisément observer les veines palpiter sous la peau écarlate. Je la saisi à la base et la secouai un peu en lâchant un soufflement sonore. Putain, elle et mes couilles étaient devenues douloureuses. Je le mis à monter et descendre dessus, en m’attardant toujours un peu plus sur le gland ultra-sensible. J’imaginai sur le sol devant moi le corps nu et bien épilé d’une petite déesse de demoiselle d’honneur, bien offerte à moi, les jambes écartées de part et d’autre de sa chatte dégoulinante de cyprine. Oui, c’est exactement ce qu’il me fallait, un endroit bien agréable comme celui-là à ...