1. Oui, je le veux... TON CUL ! (1)


    Datte: 11/11/2018, Catégories: Trash,

    ... ravager à coups de rein avides. Tout à coup, je me levai et rentrai mon sexe dans mon pantalon. A quoi bon imaginer ce spectacle de petite chienne nue quand on pouvait l’avoir quelques étages plus bas ? Ce n’est pas parce que l’on ne pouvait plus toucher qu’on allait se priver de regarder ! Je décidai de rejoindre le vestiaire des demoiselles d’honneur et sortis de la pièce en courant, la bite en feu. Une fois dans le couloir qui grouillait de monde, je baissai la tête pour qu’on ne reconnaisse pas le marié qui s’échappait, et rasai les murs jusqu’à la porte débouchant sur les escaliers de service. Prendre l’ascenseur était trop risqué, même si je ne connaissais pas la plupart des invités dans cet hôtel, eux avait bien vu les multiples photos géantes de Celestina et de moi qui ornaient les murs du bâtiment. Heureusement, la cage d’escalier était déserte, et je rejoignis le rez-de-chaussée en moins de temps qu’il n’en faut à une chaudasse pour avaler une queue. Une fois en bas, je passai en vitesse devant les grandes portes de la salle de cérémonie. Elles étaient entrouvertes, et je pus apercevoir la multitude de chaise -encore vides- qui me tournaient le dos, de part et d’autre du tapis rouge menant à une gigantesque estrade pour l’instant dissimulée derrière un grand rideau blanc. Je tournai à gauche en prenant toujours soin que l’on ne me reconnaisse pas, et me retrouvai pile devant les portes des vestiaires. Le sexe palpitant, je poussai celle des femmes et y entrai le ...
    ... plus discrètement possible avant de refermer la porte. Je me retrouvai dans une sorte d’antichambre vide de monde, mais des voix féminines me parvinrent de la pièce d’à côté. Je glissai tant bien que mal mon grand corps derrière un porte-manteau, et observai à travers les vestes. Trois rangées de casiers imposants remplissaient l’espace, et entre eux, au moins six femmes s’affairaient. Ça n’était en fait pas exclusivement des vestiaires pour demoiselles d’honneur, il y avait aussi des femmes plus âgées. La plupart étaient déjà changées et rangeaient simplement leurs affaires en s’apprêtant à quitter la salle, tandis que d’autres étaient en train de se déshabiller. Il y avait de petits box pour qu’elles aient un peu d’intimité –après tout, il s’agissait de femmes importantes !- mais ils étaient pleins et certaines décidaient de se déshabiller devant tout le monde. Sans surprise, cela ne concernait que les jeunes femmes, à mon plus grand plaisir. Lorsque les femmes se mirent à quitter la pièce, je retins ma respiration en priant pour que l’on ne me surprenne pas. J’étais vraiment juste à côté de la sortie. Mais on ne me vit pas et le luxueux vestiaire se vida presque entièrement. Lorsque la voie fut libre, j’écartai à nouveau les vestes pour observer. Seules trois femmes demeuraient dans la salle. Mes yeux s’attardèrent sur l’une d’entre elle. La plus jeune d’au moins trente ans, une superbe brune dans la vingtaine qui venait juste de quitter son soutien-gorge en satin rouge, pour ...
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